Replonge
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Bonsoir à tous,
Ça fait maintenant presque 1 ans et demi que j'ai arrêtée de m'AM. Malgré une rupture difficile, une dépression et de grosses engueulades familiale je n'y avais plus penser, j'en avais plus besoin...
Depuis quelques mois on peux dire que tout se passe plutôt bien dans ma vie et pourtant je suis sur le point de craquer et de recommencer, j'ai besoin de me faire mal. Je suis perdue, pourquoi cette envie revient-elle alors que je suis censé être heureuse ?
Je sais pas faire pour ne pas craquer...
Ça fait maintenant presque 1 ans et demi que j'ai arrêtée de m'AM. Malgré une rupture difficile, une dépression et de grosses engueulades familiale je n'y avais plus penser, j'en avais plus besoin...
Depuis quelques mois on peux dire que tout se passe plutôt bien dans ma vie et pourtant je suis sur le point de craquer et de recommencer, j'ai besoin de me faire mal. Je suis perdue, pourquoi cette envie revient-elle alors que je suis censé être heureuse ?
Je sais pas faire pour ne pas craquer...
Re: Replonge
Bonjour, et bienvenue sur le forum. 
Tu es "sensée" être heureuse... C'est peut etre deja ca, le probleme. On ne sait pas ce qui rend heureux (ce serait bien...). Si tu as à nouveau envie de te blesser, c'est certainement que tout n'est pas aussi rose que tu le crois, ou que ce qu'on veut te faire croire.
Je peux pas te dire pourquoi ca revient. Tu n'en dis pas beaucoup sur toi... Il s'est passé quelque chose, recemment, un evenement, un changement dans ta vie, qui pourrait coincider avec ce mal-etre ?
Avant, quand tu te blessais, sais-tu pourquoi ? As-tu pu resoudre ce qui te faisait te blesser avant ?
Qu'est ce qui te poussait à le faire, aussi ? Quelles situations, quels ressentis ?

Tu es "sensée" être heureuse... C'est peut etre deja ca, le probleme. On ne sait pas ce qui rend heureux (ce serait bien...). Si tu as à nouveau envie de te blesser, c'est certainement que tout n'est pas aussi rose que tu le crois, ou que ce qu'on veut te faire croire.
Je peux pas te dire pourquoi ca revient. Tu n'en dis pas beaucoup sur toi... Il s'est passé quelque chose, recemment, un evenement, un changement dans ta vie, qui pourrait coincider avec ce mal-etre ?
Avant, quand tu te blessais, sais-tu pourquoi ? As-tu pu resoudre ce qui te faisait te blesser avant ?
Qu'est ce qui te poussait à le faire, aussi ? Quelles situations, quels ressentis ?
La douleur qui se tait n'en est que plus funeste.
RAC. Androm. III, 3.
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- Pandora
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Re: Replonge
Bienvenue sur le site !
"Censée être heureuse"... à quoi cela correspond-il ? Car de toute évidence, il te manque quelque chose pour que tu sois pleinemennt heureuse... Sinon, l'AM ne reviendrait pas te hanter... Ou quelque chose t'a perturbée...
J'aimerais que tu en dises un peu plus sur toi afin de t'aider au mieux.
"Censée être heureuse"... à quoi cela correspond-il ? Car de toute évidence, il te manque quelque chose pour que tu sois pleinemennt heureuse... Sinon, l'AM ne reviendrait pas te hanter... Ou quelque chose t'a perturbée...
J'aimerais que tu en dises un peu plus sur toi afin de t'aider au mieux.
Qui croyais-tu que j'étais ?
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
Re: Replonge
Bonsoir, ou plutôt bonjour vu l'heure à laquelle je post...
Tout d'abord merci pour votre accueil
Je m'excuse d'avance pour le pavé qui suit
(J'ai pas réussis à faire plus cours d'autant que vous m'avez demandé d'en savoir plus sur moi alors autant raconté ma vie
)
J'ai commencé l'AM à 15 ans et je l'ai fait durant 4 ans. Ce qui me poussai à m'AM ? Je ne sais pas vraiment... Je n'en avais jamais parlé avant aujourd'hui mais j'ai toujours pensée que c'était dû à l'adolescence et les problèmes qui viennent avec (mal dans sa peau, rejet de l'autorité parentale (et donc conflit avec les parents) ou de l'autorité tout cours, problèmes scolaires, etc...) et comme j'ai arrêter l'AM lorsque ma "crise d'adolescence" s'est finie ça pourrai le confirmer.
Je n'exprime pas facilement ce que je ressent voir même pas du tout, alors au début l'AM me permettait de pouvoir extérioriser ma haine ou ma tristesse surtout après une dure journée et/ou prise de tête avec mes parents pour avoir séché les cours et/ou échange de coups avec mon frère. Et puis j'ai commencé à m'AM aussi lorsque ma propre attitude m'avais déçus/énervé/dégouté ou que je repensais aux mauvais choix que j'avais fait dans ma vie. A cette période je picolais même plusieurs fois par semaine.
L'année de mes 17 ans j'ai décidée de me reprendre en mains et d'arrêter de boire lorsque ma meilleure amie m'a appris le décès d'un de ses amis et m'a fait part de son inquiétude pour moi, qu'elle ne voulais pas perdre un autre de ses proches pour une chose aussi conne que l'alcool, ce qui ne m'empêcha pas de continuer quand même l'AM (dont elle n'est toujours pas au courant). L'année suivante, ma mère m'avoua qu'elle avait le sida depuis avant ma naissance, pour moi ça n'a rien changé dans mon comportement ou quoi que ce soit mais ma mère, elle, a complètement changer d'attitude envers moi et les relations autre fois tendus entre mes parents et moi ce sont apaisée. Par chance au même moment (a quelques mois près) mon frère à de son côté arrêté (ou du moins ne le fait plus aussi souvent) de me provoquer (je perd vite mon sang froid et l'excès de colère (qui vient de je ne sais où) que j'ai ne fait rien pour arranger les choses...) et depuis on ne se dispute/bagarre presque plus.
J'ai donc réussis à complétement arrêter l'AM il y a 1 an et demi et je n'ai pas craqué depuis même lors de ma rupture avec celui que je considérai comme mon âme-sœur, l'homme de ma vie avec qui j'étais depuis presque 1 an (je m'en suis d'ailleurs voulu pendant un moment de pas avoir été plus présente, plus câline avec lui) à cause de son déménagement au canada, ou lors de la "dépression" qui s'en est suivi (je met entre guillemet puisque je ne jamais considéré ça comme une dépression contrairement à mon médecin généraliste et mes parents, c'est normal d'être effondré lors d'une rupture, surtout difficile, nan ?). Je ne me suis d'ailleurs mise en couple avec personne depuis cette histoire.
Alors pour résumer : je m'entend de nouveau bien avec mes parents et mon frère, je suis à la fac depuis cette année (j'ai eu énormément de chance de ne redoubler qu'une année durant ma scolarité malgré mes "problèmes") où j'ai enfin les matières qui m'intéresse, qui me motive à poursuivre mes études (donc plus de problème au niveau scolaire) et où j'ai rencontré des gens formidables avec qui je partage de très bon moments, je ne picole plus, et même si j'ai quelques petits complexe (rien d'insurmontable) je me sens bien dans ma peau.
On peux pas dire que j'ai de quoi avoir envie de recommencer....
Je ne vois pas ce qui pourrais m'avoir perturbé et il n'y a pas eu de changement dans ma vie depuis... =/
Peut-être un reste de ma dépendance à l'AM qui refait surface ? Je sais vraiment pas...
Enfin voilà, merci à ceux qui ont eu le courage de tout lire, mais je le prendrais pas mal si vous avez pas tout lu
PS : je m'excuse encore mais cette fois pour les éventuelles fautes, vu l'heure j'ai vraiment la flemme de me relire...
Tout d'abord merci pour votre accueil

Je m'excuse d'avance pour le pavé qui suit


J'ai commencé l'AM à 15 ans et je l'ai fait durant 4 ans. Ce qui me poussai à m'AM ? Je ne sais pas vraiment... Je n'en avais jamais parlé avant aujourd'hui mais j'ai toujours pensée que c'était dû à l'adolescence et les problèmes qui viennent avec (mal dans sa peau, rejet de l'autorité parentale (et donc conflit avec les parents) ou de l'autorité tout cours, problèmes scolaires, etc...) et comme j'ai arrêter l'AM lorsque ma "crise d'adolescence" s'est finie ça pourrai le confirmer.
Je n'exprime pas facilement ce que je ressent voir même pas du tout, alors au début l'AM me permettait de pouvoir extérioriser ma haine ou ma tristesse surtout après une dure journée et/ou prise de tête avec mes parents pour avoir séché les cours et/ou échange de coups avec mon frère. Et puis j'ai commencé à m'AM aussi lorsque ma propre attitude m'avais déçus/énervé/dégouté ou que je repensais aux mauvais choix que j'avais fait dans ma vie. A cette période je picolais même plusieurs fois par semaine.
L'année de mes 17 ans j'ai décidée de me reprendre en mains et d'arrêter de boire lorsque ma meilleure amie m'a appris le décès d'un de ses amis et m'a fait part de son inquiétude pour moi, qu'elle ne voulais pas perdre un autre de ses proches pour une chose aussi conne que l'alcool, ce qui ne m'empêcha pas de continuer quand même l'AM (dont elle n'est toujours pas au courant). L'année suivante, ma mère m'avoua qu'elle avait le sida depuis avant ma naissance, pour moi ça n'a rien changé dans mon comportement ou quoi que ce soit mais ma mère, elle, a complètement changer d'attitude envers moi et les relations autre fois tendus entre mes parents et moi ce sont apaisée. Par chance au même moment (a quelques mois près) mon frère à de son côté arrêté (ou du moins ne le fait plus aussi souvent) de me provoquer (je perd vite mon sang froid et l'excès de colère (qui vient de je ne sais où) que j'ai ne fait rien pour arranger les choses...) et depuis on ne se dispute/bagarre presque plus.
J'ai donc réussis à complétement arrêter l'AM il y a 1 an et demi et je n'ai pas craqué depuis même lors de ma rupture avec celui que je considérai comme mon âme-sœur, l'homme de ma vie avec qui j'étais depuis presque 1 an (je m'en suis d'ailleurs voulu pendant un moment de pas avoir été plus présente, plus câline avec lui) à cause de son déménagement au canada, ou lors de la "dépression" qui s'en est suivi (je met entre guillemet puisque je ne jamais considéré ça comme une dépression contrairement à mon médecin généraliste et mes parents, c'est normal d'être effondré lors d'une rupture, surtout difficile, nan ?). Je ne me suis d'ailleurs mise en couple avec personne depuis cette histoire.
Alors pour résumer : je m'entend de nouveau bien avec mes parents et mon frère, je suis à la fac depuis cette année (j'ai eu énormément de chance de ne redoubler qu'une année durant ma scolarité malgré mes "problèmes") où j'ai enfin les matières qui m'intéresse, qui me motive à poursuivre mes études (donc plus de problème au niveau scolaire) et où j'ai rencontré des gens formidables avec qui je partage de très bon moments, je ne picole plus, et même si j'ai quelques petits complexe (rien d'insurmontable) je me sens bien dans ma peau.
On peux pas dire que j'ai de quoi avoir envie de recommencer....
Je ne vois pas ce qui pourrais m'avoir perturbé et il n'y a pas eu de changement dans ma vie depuis... =/
Peut-être un reste de ma dépendance à l'AM qui refait surface ? Je sais vraiment pas...

Enfin voilà, merci à ceux qui ont eu le courage de tout lire, mais je le prendrais pas mal si vous avez pas tout lu

PS : je m'excuse encore mais cette fois pour les éventuelles fautes, vu l'heure j'ai vraiment la flemme de me relire...

Re: Replonge
-Tu ne savais ou pouvais pas exprimer ton ressenti,Saya a écrit :Je n'exprime pas facilement ce que je ressent voir même pas du tout, alors au début l'AM me permettait de pouvoir extérioriser ma haine ou ma tristesse surtout après une dure journée et/ou prise de tête avec mes parents pour avoir séché les cours et/ou échange de coups avec mon frère. Et puis j'ai commencé à m'AM aussi lorsque ma propre attitude m'avais déçus/énervé/dégouté ou que je repensais aux mauvais choix que j'avais fait dans ma vie. A cette période je picolais même plusieurs fois par semaine.
-Tu avais une mauvaise estime de toi.
Déjà ça, c'est beaucoup. Et c'est assez fréquemment en cause dans l'AM.
Et maintenant ? Tu te sens bien dans ta peau.... mais est-ce que tu t'apprécies ? Est-ce que tu peux parler ouvertement de ce que tu ressens, meme ce qui n'est pas important ?
La douleur qui se tait n'en est que plus funeste.
RAC. Androm. III, 3.
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Re: Replonge
(désolé pour la réponse tardive j'ai des problèmes de connexion
)


Franchement je saurais pas dire...Tu te sens bien dans ta peau.... mais est-ce que tu t'apprécies ?

Non. J'ai jamais vraiment réussi d'ailleurs. D'une part parce que je sais pas comment faire et d'autre part parce que je trouve que ça ne regarde personne d'autre que moiEst-ce que tu peux parler ouvertement de ce que tu ressens, même ce qui n'est pas important ?

- Pandora
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Re: Replonge
c'est normal d'être effondré lors d'une rupture, surtout difficile, nan ?). Je ne me suis d'ailleurs mise en couple avec personne depuis cette histoire.
Oui, c'est normal. Tout dépend de l'ampleur que prend cette rupture... Ton médecin lui-même y a vu une dépression, j'aimerais savoir pourqquoi tu le refuses, le minimise. Cela t'effraie-t-il ?
Il semble que tu n'aies pas fini de faire ton deuil de cette histoire, qui comptait tant pour toi... Je me trompe peut-être, mais c'est ce que je lis qui me fait ddire ça. Le retour de l'envie de t'AM aussi.
Qui croyais-tu que j'étais ?
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
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Re: Replonge
Je sais pas, pour moi c'était juste normal qu'après ma rupture je me sente mal, tout le monde ne fait pas une dépression après une rupture alors je pensais traverser la même chose que n'importe qui... Faut dire que c'était ma première rupture d'une histoire sérieuse donc je savais pas trop si ma réaction étais signe d'une dépression ou non mais je pensais réagir comme n'importe qui...Ton médecin lui-même y a vu une dépression, j'aimerais savoir pourquoi tu le refuses, le minimise. Cela t'effraie-t-il ?
Après, comme tu le dit, peut-être que c'est tout simplement le mot dépression qui me dérange, ou que je me rend pas compte de mon réel état durant cette période.
C'est ce que je pense aussiIl semble que tu n'aies pas fini de faire ton deuil de cette histoire, qui comptait tant pour toi...

- Pandora
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Re: Replonge
C'est déjà un grand pas, Saya, que tu sois consciente que ton deuil n'est pas fini. Il faut du courage pour se l'avouer... As-tu déjà pensé à te faire aider par un thérapeute ?
Qui croyais-tu que j'étais ?
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Re: Replonge
Ça me dit trop rien de parler à quelqu'un qui m'écoute parce qu'il est payé en retour. Déjà qu'a la base je raconte pas ce genre de choses aux gens proches de moi alors à quelqu'un que je connais pas...As-tu déjà pensé à te faire aider par un thérapeute ?
Re: Replonge
Un psy t'ecoute parce qu'il a choisit de le faire. Que ca l'interesse au point d'en faire son métier. Bien sur qu'il y en a parfois de mauvais. Mais des bons aussi.
Et il est parfois plus simple de parler à qqun de neutre, de savoir que tu peux justement parler sans meler tes proches à ca.
Et il est parfois plus simple de parler à qqun de neutre, de savoir que tu peux justement parler sans meler tes proches à ca.
La douleur qui se tait n'en est que plus funeste.
RAC. Androm. III, 3.
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Re: Replonge
Ce serait peut-être bien d'y réfléchir... Cela pourrait vraiment t'apporter une aide.
Qui croyais-tu que j'étais ?
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
Re: Replonge
Bon après tout je peux toujours essayer on verra bien...
Question conne : Comment ça se passe pour le règlement des séances ? ils demandent la carte vitale ? J'voudrais pas que me mère soit au courant mais c'est elle qui garde ma carte vitale donc si je lui réclame elle va se poser des questions
Question conne : Comment ça se passe pour le règlement des séances ? ils demandent la carte vitale ? J'voudrais pas que me mère soit au courant mais c'est elle qui garde ma carte vitale donc si je lui réclame elle va se poser des questions

Re: Replonge
Seuls les psychiatres sont medecins, et donc remboursés. Sans carte vitale, un medecin peut de toute facon faire une feuille de remboursement, ce n'est jamais obligatoire.
Pour les autres (psychologues, psychotherapeutes, psychanalystes), ce n'est pas remboursé.
Il existe aussi des centres gratuits où consulter, pour etudiants ou non (CMP, ...). Je ne sais pas si dans ce cas ils demandent un jsutificatif (me souvient plus).
Pour les autres (psychologues, psychotherapeutes, psychanalystes), ce n'est pas remboursé.
Il existe aussi des centres gratuits où consulter, pour etudiants ou non (CMP, ...). Je ne sais pas si dans ce cas ils demandent un jsutificatif (me souvient plus).
La douleur qui se tait n'en est que plus funeste.
RAC. Androm. III, 3.
RAC. Androm. III, 3.
Re: Replonge
Okay merci pour les infos 
