Soin après blessure ( ? )
Soin après blessure ( ? )
Voilà, je me demandais quelle importante vous accordez à vous soigner après vous etre fait mal. ( retour de mes petites questions ininteressantes )
Personnellement je me suis rendue compte que me soigner et presque aussi important que de me faire mal.
Je planifie toujours les blessures que je vais me faire, mais je prépare également toujours à l'avance tout ce qu'il me faudra pour me soigner. Je sors tout en meme temps, de quoi me faire mal et de quoi soigner ensuite.
Il m'est meme déjà arrivé d'avoir vraiment envie de me faire mal mais de ne rien me faire parce que je n'avais pas de mouchoirs.
Voir fleurir sur ma jambe tout plein de petits pansements, la "joie" de découvrir le lendemain la beauté qu'ils cachent, sentir sous mon pantalon bandage propre ou scotch en vrac selon l'humeur ... Tout ça compte presque autant que la seule douleur.
Voir un morceau de mouchoir et imaginer ce qu'il cache me calme plus que de voir les cicatrices ensuite.
Je me demandais si j'étais la seule à accorder autant d'importance à l'après blessure ou si d'autres personnes réagissent comme moi.
J'ai l'impression que beaucoup ici se font mal suite à des impulsions et ne réfléchissent pas à l'après, alors qu'au contraire je planifie tout à l'avance, les blessures, les soins, la cicatrisation ...
Personnellement je me suis rendue compte que me soigner et presque aussi important que de me faire mal.
Je planifie toujours les blessures que je vais me faire, mais je prépare également toujours à l'avance tout ce qu'il me faudra pour me soigner. Je sors tout en meme temps, de quoi me faire mal et de quoi soigner ensuite.
Il m'est meme déjà arrivé d'avoir vraiment envie de me faire mal mais de ne rien me faire parce que je n'avais pas de mouchoirs.
Voir fleurir sur ma jambe tout plein de petits pansements, la "joie" de découvrir le lendemain la beauté qu'ils cachent, sentir sous mon pantalon bandage propre ou scotch en vrac selon l'humeur ... Tout ça compte presque autant que la seule douleur.
Voir un morceau de mouchoir et imaginer ce qu'il cache me calme plus que de voir les cicatrices ensuite.
Je me demandais si j'étais la seule à accorder autant d'importance à l'après blessure ou si d'autres personnes réagissent comme moi.
J'ai l'impression que beaucoup ici se font mal suite à des impulsions et ne réfléchissent pas à l'après, alors qu'au contraire je planifie tout à l'avance, les blessures, les soins, la cicatrisation ...
"On aimerait tout oublier souvent
Et partir comme ça sans raison
Et tout laisser le pire le bon "
Et partir comme ça sans raison
Et tout laisser le pire le bon "
*
*ATT AM
*
Tout comme toi je planifias tout a l'avance, jsuqu'a la couleur des vetement pour que ca soit le plus discret possible. Je le faisais toujour le soir (sauf quelque rare fois ou ce fut impulsif) le sachant toujour le matin.
Puis juste après avoir couper, les soin se limiter a très peu de chose en fait, plus a nettoyer les connerie du jour que a soigner la plaie en elle même, j'en avais presque a avoir des TOC pour que tout soit nickel, que il n'y est plus la moindre trace de betise.
Et le lendemain je regardais mes plaie avec joie si elle étais pas belle a voir, avec déception si elle se guérissais bien, puis je regardais la croute se former tout doucement, se durcir puis tomber. (soupir un brin nostalgique)
Puis je recommencais et ainsi de suite.
Jamais je n'ai pu vraiment dire que mon am étais impulsive.
La dernière fois que me suis am, c'étais de façon impulsive dans des toilette de la bu de ma fac et je docn je n'étais pas a l'abri de mes toilette ou de ma chambre ou de ma salle de bain, je l'ai très peu fait d'abord (par peur d'infection) et j'ai pas laver ma lame. Lorsque j'ai du redésinfecter ma lame, je me suis appercu qu'il restai un peu de sang sécher dessus. Comme ce n'étais pas fait de façon habituelle, je n'ai pas pu prendre le temp de faire tout mon rituel autour.
Il m'et également arriver de planifier de m'am et de ne pas pouvoir le faire et dans ce cas la, je me sentais frustrer, masi je ne faisais rien ou pas grand chose, en tout cas rien ne laissant de trace.
*ATT AM
*
Tout comme toi je planifias tout a l'avance, jsuqu'a la couleur des vetement pour que ca soit le plus discret possible. Je le faisais toujour le soir (sauf quelque rare fois ou ce fut impulsif) le sachant toujour le matin.
Puis juste après avoir couper, les soin se limiter a très peu de chose en fait, plus a nettoyer les connerie du jour que a soigner la plaie en elle même, j'en avais presque a avoir des TOC pour que tout soit nickel, que il n'y est plus la moindre trace de betise.
Et le lendemain je regardais mes plaie avec joie si elle étais pas belle a voir, avec déception si elle se guérissais bien, puis je regardais la croute se former tout doucement, se durcir puis tomber. (soupir un brin nostalgique)
Puis je recommencais et ainsi de suite.
Jamais je n'ai pu vraiment dire que mon am étais impulsive.
La dernière fois que me suis am, c'étais de façon impulsive dans des toilette de la bu de ma fac et je docn je n'étais pas a l'abri de mes toilette ou de ma chambre ou de ma salle de bain, je l'ai très peu fait d'abord (par peur d'infection) et j'ai pas laver ma lame. Lorsque j'ai du redésinfecter ma lame, je me suis appercu qu'il restai un peu de sang sécher dessus. Comme ce n'étais pas fait de façon habituelle, je n'ai pas pu prendre le temp de faire tout mon rituel autour.
Il m'et également arriver de planifier de m'am et de ne pas pouvoir le faire et dans ce cas la, je me sentais frustrer, masi je ne faisais rien ou pas grand chose, en tout cas rien ne laissant de trace.
Un ange est mort
J'ai passé les premieres annees sans aucun soin et dans des conditions d'hygiene deplorables. Avant de me mettre a y accorder de l'importance.
Ce n'est peut etre pas le cas pour tous, mais pour moi c'etait un progres, c'etait commencer a prendre soin de moi. Meme si je ne fais plus rien, j'ai accumulé des trips, bandes et bouteilles de desinfectants qui me feraient passer pour une parano aux yeux de qqun qui ne saurait pas.
Et c'est vrai qu'une bande qui sert et rappelle la blessure tout en calmant la douleur et empechant la vue, c'est agreable. Et ca empeche de recommencer tout de suite. En tout cas, je preferais souvent garder la bande et ne rien faire.
Curieusement par contre, ce ne sont que les coupures que j'ai soignées. Est-ce que le pourcentage de gens qui se soignent depends du type de blessure infligée ?
La douleur qui se tait n'en est que plus funeste.
RAC. Androm. III, 3.
RAC. Androm. III, 3.
- val
- Messages : 125
- Enregistré le : mar. 18 janv. 2005, 23h59
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- Contact :
Chez moi ça dépend, c'est un mélange de soins très appliqués et d'anarchie totale...
Je désinfecte toujours (d'ailleurs j'ai déjà eu des reflexion sur mes acahts réguliers de desinfectants). Par contre, à part dans certains cas important, je mets rien de rien dessus.. Il fait dire que les fois ou je met un mouchoir pour stopper les hémoragies, ca colle et c'est pire que tout...
Mais aussi, j'aime bein garder ma lame "sale" et les mouchoirs aussi, pour bien me montrer que je ne rêve pas... Il m'arrive aussi de ne pas bien nettoyer par terre exprès, ou même des fois involontairement laisser des traces partout...
Mais me soigner me calme un peu en général, comme un lointain sentiment de "s'occuper de soi"
Je désinfecte toujours (d'ailleurs j'ai déjà eu des reflexion sur mes acahts réguliers de desinfectants). Par contre, à part dans certains cas important, je mets rien de rien dessus.. Il fait dire que les fois ou je met un mouchoir pour stopper les hémoragies, ca colle et c'est pire que tout...
Mais aussi, j'aime bein garder ma lame "sale" et les mouchoirs aussi, pour bien me montrer que je ne rêve pas... Il m'arrive aussi de ne pas bien nettoyer par terre exprès, ou même des fois involontairement laisser des traces partout...
Mais me soigner me calme un peu en général, comme un lointain sentiment de "s'occuper de soi"
les épreuves font de nous ce que nous sommes
ATT AM
Je ne me soigne jamais, à part éponger avec un bout de coton (mes blessures ne sont pas assez profondes, ça ne saigne presque pas parfois: peut-être la peau durcit-elle au bout d'un moment...?) que je laisse ensuite trainer plusieurs jours car j'aime la vue de mon sang... ca me calme. Les lames restent en l'état.
Mes blessures je n'arrive pas à les soigner, car au contraire, je les entretiens afin que cela se remette à saigner. Je sais, c'est mal, j'ai très honte de dire tout ça. J'aime regarder ce que je me fais, ça m'apaise.
Mais me soigner, désinfecter, ça ne me vient jamais à l'esprit.
Je ne me soigne jamais, à part éponger avec un bout de coton (mes blessures ne sont pas assez profondes, ça ne saigne presque pas parfois: peut-être la peau durcit-elle au bout d'un moment...?) que je laisse ensuite trainer plusieurs jours car j'aime la vue de mon sang... ca me calme. Les lames restent en l'état.
Mes blessures je n'arrive pas à les soigner, car au contraire, je les entretiens afin que cela se remette à saigner. Je sais, c'est mal, j'ai très honte de dire tout ça. J'aime regarder ce que je me fais, ça m'apaise.
Mais me soigner, désinfecter, ça ne me vient jamais à l'esprit.
Bienvenue Lully.
Pas de raison d'avoir honte, c'est comprehensible, et ca n'arrange rien, la honte.
Par contre c'est vrai que tu devrais eviter, ca augmente le risque d'infection.
Pour tout ceux qui ne se soignent pas... Vous avez dejà essayé ? Ca peut etre une habitude facile a prendre, et tres positive. Ca donne un peu d'importance à la blessure, tout en poussant a prendre soin de soi.
Pas de raison d'avoir honte, c'est comprehensible, et ca n'arrange rien, la honte.
Par contre c'est vrai que tu devrais eviter, ca augmente le risque d'infection.
Pour tout ceux qui ne se soignent pas... Vous avez dejà essayé ? Ca peut etre une habitude facile a prendre, et tres positive. Ca donne un peu d'importance à la blessure, tout en poussant a prendre soin de soi.
La douleur qui se tait n'en est que plus funeste.
RAC. Androm. III, 3.
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- Shadowdweller
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- Enregistré le : mar. 18 janv. 2005, 19h19
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Avant de me couper, je fais toujours attention à avoir des mouchoirs pour ne pas être prise au dépourvu, mais j'estime que mes blessures sont trop peu profondes pour que j'y attache de l'importance. (Mauvaise habitude, je sais). Généralement, me coupant le soir, j'y applique un mouchoir que je laisse toute la nuit, puis le lendemain je l'enlève. Si la blessure, avec les mouvements, risque de se rouvrir, je laisse le mouchoir toute la journée. Mais sans plus.
Je ne peux pas non plus me diriger tout de suite vers le lavabo, alors bon... Mais, je l'avoue, je devrais faire attention...
Je ne peux pas non plus me diriger tout de suite vers le lavabo, alors bon... Mais, je l'avoue, je devrais faire attention...
Louise
I'm just me...
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ATT AM
Desinfecté, nettoyer, ca va à l'encontre meme de ce que je ressent. Je ne désinfecte jamais avant, ni apres. par contre, les "outils" qui me lacèrent son parfaitement nettoyés et replacé à leur endroit. Pour que personne ne se rendent compte de rien si ils les voit. Mes plaies, je ne les soigne pas pcq, justement, il y a plus de risque d'infections. Si ca s'infecte ca fait plus mal. Je joue constament avec les plaies. J'arrache les gales, je pese dessus. Parce que ca me calme. pcq pendant que je m'acharne sur ce bobo, je n'en fait pas d'autre. A la limite, je *edité, methode*, justement parce que ca fait mal. pour que ca face plus mal. La douleur me calme, elle calme mon mal interieur.
Desinfecté, nettoyer, ca va à l'encontre meme de ce que je ressent. Je ne désinfecte jamais avant, ni apres. par contre, les "outils" qui me lacèrent son parfaitement nettoyés et replacé à leur endroit. Pour que personne ne se rendent compte de rien si ils les voit. Mes plaies, je ne les soigne pas pcq, justement, il y a plus de risque d'infections. Si ca s'infecte ca fait plus mal. Je joue constament avec les plaies. J'arrache les gales, je pese dessus. Parce que ca me calme. pcq pendant que je m'acharne sur ce bobo, je n'en fait pas d'autre. A la limite, je *edité, methode*, justement parce que ca fait mal. pour que ca face plus mal. La douleur me calme, elle calme mon mal interieur.
L'espoir est la plus grande force de l'âme...