Bonjour à tous,
Voilà, j'aurai aimé savoir comment votre automutilation fonctionne. Je m'explique, je voudrais savoir si cela ressemble plus à un long processus qui se met en place plusieurs semaines ou plusieurs mois avant que vous passiez à l'acte. Ou alors il s'agit plutôt d'un acte impulsif qui fait que vous êtes obligé de vous blesser dans l'instant qui suit.
En gros, je voulais savoir si c'était impulsif ou compulsif.
Chez moi c'est plutôt compulsif. Il y a une sorte d'impératif qui fait que je dois me bûler. C'est un long processus qui se met en place sur plusieurs semaines, c'est une sorte de condionnement psychologique indépendant de ma volonté.
Voilà, j'attends vos réponses et par avance merci.
Comment vous fonctionner
Je n'aime guère le présent de ton post... Tu as replongé ? 
Lorsqu'il m'arrivais de m'am, c'étais le plus souvent réfléchie à l'avance, tout étais pretexte à. Par exemple, je me souvient du jour de mes 18 ans ou je me suis coupé j'avais prévu ca plusieur jours à l'avance, ca faisais une belle occasion. Généralement je planifiais toujours un jour ou deux à l'avance. J'ai du me coupé que quelques rare fois de façon impulsive.
Aujourd'hui encore lorsque je sais que je vais être seul, je planifie, hum et si je me préparais ma lame comme avant, je n'ai pas oublié un seul de tout mes rituel. Je planifie, mais je ne fais rien, une peur me retient et je fais rien, je ne prépare rien.
Lorsqu'il m'arrivais de m'am, c'étais le plus souvent réfléchie à l'avance, tout étais pretexte à. Par exemple, je me souvient du jour de mes 18 ans ou je me suis coupé j'avais prévu ca plusieur jours à l'avance, ca faisais une belle occasion. Généralement je planifiais toujours un jour ou deux à l'avance. J'ai du me coupé que quelques rare fois de façon impulsive.
Aujourd'hui encore lorsque je sais que je vais être seul, je planifie, hum et si je me préparais ma lame comme avant, je n'ai pas oublié un seul de tout mes rituel. Je planifie, mais je ne fais rien, une peur me retient et je fais rien, je ne prépare rien.
Un ange est mort
Impulsif, definitivement. Il m'est arrivé une ou deux fois de pouvoir me retenir quelques heures avec pour seule consequence d'aller encore plus mal.
Chez moi, le besoin etait immediat, avec ou sans declencheur. Au point parfois de sortir de table quand j'etais invitée parce qu'une reflexion ne m'avait pas plut, ou de quitter un cours au milieu...
Chez moi, le besoin etait immediat, avec ou sans declencheur. Au point parfois de sortir de table quand j'etais invitée parce qu'une reflexion ne m'avait pas plut, ou de quitter un cours au milieu...
La douleur qui se tait n'en est que plus funeste.
RAC. Androm. III, 3.
RAC. Androm. III, 3.
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Vincent
Bonsoir à tous,
Non, non rassure toi François, je n'ai pas replongé. C'est juste que j'avais cette question à l'esprit depuis un moment, alors voilà, je l'ai posée.
Ca fera 3 ans à la fin de l'année que je ne me suis pas brûlé. Je ne pense pas en avoir fini, je crois juste que mon besoin de cicatrice est en sommeil. Mais bon, soyons positif, peut être qu'il ne se réveillera jamais.
En tout cas, merci de vos réponses.
Non, non rassure toi François, je n'ai pas replongé. C'est juste que j'avais cette question à l'esprit depuis un moment, alors voilà, je l'ai posée.
Ca fera 3 ans à la fin de l'année que je ne me suis pas brûlé. Je ne pense pas en avoir fini, je crois juste que mon besoin de cicatrice est en sommeil. Mais bon, soyons positif, peut être qu'il ne se réveillera jamais.
En tout cas, merci de vos réponses.
Je ne peux pas dire que c'est compulsif mais ce n'est pas non plus completement irréfléchis. J'arrive à me retenir un certain temps mais ce n'est pas parce que je planifie l'éveénement; c'est parce que je le retiens. Il m'est parfois arrivé de m'am à cause d'un événement particulier (ex: la veille d'aller chez le medecin) alors que j'aurais probablement pu reussir a me retenir encore un jour ou deux. C'est impulsif mais controlé...
L'espoir est la plus grande force de l'âme...