Comment lui dire?
- Fear-of-the-Dark
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Comment lui dire?
Hello tout le monde...
J'écris parce que j'ai besoin d'un conseil... Je ne sais pas comment parler de mon AM avec mon copain...
J'ai perdu certains de mes amis à cause de ça, et jamais je ne pourrais survivre si je le perds lui.
Je ne sais pas comment aborder le sujet, ni quoi lui dire. Je ne peux pas lui faire comprendre parce que même moi je ne comprends pas.
Je ne comprends pas pourquoi j'ai commencé, pourquoi je le fais toujours, pourquoi j'aime pas la vie...
Il a déja vu mes marques mais il ne m'en a jamais parlé... Et je sais pas comment faire. Mais je veux lui en parler, parce que j'en peux plus de le lui cacher...
Si vous avez un tit conseil, il est plus que bienvenu...
Gros bisous à tout le monde
Fear
J'écris parce que j'ai besoin d'un conseil... Je ne sais pas comment parler de mon AM avec mon copain...
J'ai perdu certains de mes amis à cause de ça, et jamais je ne pourrais survivre si je le perds lui.
Je ne sais pas comment aborder le sujet, ni quoi lui dire. Je ne peux pas lui faire comprendre parce que même moi je ne comprends pas.
Je ne comprends pas pourquoi j'ai commencé, pourquoi je le fais toujours, pourquoi j'aime pas la vie...
Il a déja vu mes marques mais il ne m'en a jamais parlé... Et je sais pas comment faire. Mais je veux lui en parler, parce que j'en peux plus de le lui cacher...
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Gros bisous à tout le monde
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Je crois que tu peux envisager de lui parler d'adulte à adulte. Il a vu tes marques, il n'a pas posé de questions, c'est élégant de sa part. Il a fait preuve de respect envers toi, ton intimité, tu te dois de lui valoir le respect de lui parler avec les bons mots, lui avouer ton ignorance quant aux raisons, que tu en souffres, que tu conçois bien que cela soit choquant, mais que c'est un problème qui ne concerne que toi et que tu fais tout pour t'en sortir, mais que c un prbm à régler entre toi et toi.
Je ne sais pas si tu es suivie ou non ?As-tu déjà été hospitalisée ? Es-tu sous traitement ? As-tu fait des démarches pour te soigner ?
Je parle, je parle... mais moi quand je dois en parler, je relève mes manches et je tends les bras. Voilà ma façon de dialoguer...
Je ne sais pas si tu es suivie ou non ?As-tu déjà été hospitalisée ? Es-tu sous traitement ? As-tu fait des démarches pour te soigner ?
Je parle, je parle... mais moi quand je dois en parler, je relève mes manches et je tends les bras. Voilà ma façon de dialoguer...
Qui croyais-tu que j'étais ?
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
- Fear-of-the-Dark
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Mon principal problème c'est que j'arrive pas a en parler de vive voix. Je fais pas exprès, mais dès que j'essaie d'aborder le sujet, ça reste coincé au fond de ma gorge, je peux plus parler, j'ai envie de pleurer... Enfin voila.
Non je n'ai jamais été suivie... La raison c'est que je ne sais pas ce que j'aurai a dire a un psy, parce que j'ai tout pour aller bien : un petit ami exceptionnel que j'aime a la folie, de vrais amis qui m'ont toujours soutenue, une famille qui... ouais disons juste une famille.
En réalité j'ai aucune raison de me blesser... Je suis pas très normale...
Bisous a tous
Fear
Non je n'ai jamais été suivie... La raison c'est que je ne sais pas ce que j'aurai a dire a un psy, parce que j'ai tout pour aller bien : un petit ami exceptionnel que j'aime a la folie, de vrais amis qui m'ont toujours soutenue, une famille qui... ouais disons juste une famille.
En réalité j'ai aucune raison de me blesser... Je suis pas très normale...
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Parfois cela ne suffit pas, moi cela ne m'a pas suffi... enfin j'avais pas les amis mais bon... je els ai eus plus tard et cela n'a rien résolu.Fear-of-the-Dark a écrit :Pourquoi ne pas passer par écrit ?? Parfois les mots viennent mieux, expriment mieux, et surtout ils évitent l'angoisse, les troubles de la parole orale... où il est difficile d'échapper à son interlocuteur. Une lettre reste honorable et est moyen d'expression comme un autre. Tu peux être présente lors de sa lecture.Mon principal problème c'est que j'arrive pas a en parler de vive voix. Je fais pas exprès, mais dès que j'essaie d'aborder le sujet, ça reste coincé au fond de ma gorge, je peux plus parler, j'ai envie de pleurer... Enfin voila.
Déjà que tes angoisses se manifestent par un comportement violent, que tu ne contrôles pas, qui est l'AM. C essentiel. Il faut bien avoir conscience que c un comportement qui n'est poas de notre fait, mais celui d'un profond mal-être. Il faut que tu en es conscience pour ensuite prendre le courage de faire els premiers pas vers la sortie du tunnel.La raison c'est que je ne sais pas ce que j'aurai a dire a un psy
parce que j'ai tout pour aller bien : un petit ami exceptionnel que j'aime a la folie, de vrais amis qui m'ont toujours soutenue
Qui croyais-tu que j'étais ?
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
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Merci tout le monde....
Mais la je peux plus... Je l'aimai tellement, et tout allait bien. Pis du jour au lendemain, plus rien.
en plus aujourd'hui a l'école: conférence sur le suicide... J'vous jure, sympa la journée...
Allez bisous tout le monde
courrage
Mais la je peux plus... Je l'aimai tellement, et tout allait bien. Pis du jour au lendemain, plus rien.
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Allez bisous tout le monde
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C un sale cap à passer, il faut que tu gardes la tête haute. Courage ! On pense à toi !
Qui croyais-tu que j'étais ?
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
Ce que tu vis est tellement triste, une séparation que tu n'envisageais pas du tout ; au contraire tu essayais de la contruire plus, en partageant avec ton ami quelque chose d'intime et difficile pour toi.
Heureusement que tu as écrit que tu avais de vrais amis. J'espère qu'il sont près de toi...
J'aimerais reprendre ta première question, car c'est un vrai problème : comment parler de l'AM à ceux qui sont proches et qui en voient forcément les marques ? Il est possible que de ne pas en parler laisse l'autre dans la peur, le jugement...alors ? Peut-être qu'il faut déjà lui demander ce que ça lui fait et qu'il sente que ses réactions sont entendues. Alors peut-être qu'il pourra entendre à son tour la peine, la douleur, le doute, la solitude (ou autre chose) que vit celui qui s'AM, mais que cela ne l'empêche pas d'aimer, d'avoir besoin d'être aimé et de rêver d'autres lendemains...
Peut-être pourrais-tu être aidée par un psy. Il n'y a pas besoin d'avoir vécu des choses terribles pour souffrir. Et il est souvent difficile de trouver seul le chemin pour se comprendre.
Heureusement que tu as écrit que tu avais de vrais amis. J'espère qu'il sont près de toi...
J'aimerais reprendre ta première question, car c'est un vrai problème : comment parler de l'AM à ceux qui sont proches et qui en voient forcément les marques ? Il est possible que de ne pas en parler laisse l'autre dans la peur, le jugement...alors ? Peut-être qu'il faut déjà lui demander ce que ça lui fait et qu'il sente que ses réactions sont entendues. Alors peut-être qu'il pourra entendre à son tour la peine, la douleur, le doute, la solitude (ou autre chose) que vit celui qui s'AM, mais que cela ne l'empêche pas d'aimer, d'avoir besoin d'être aimé et de rêver d'autres lendemains...
Peut-être pourrais-tu être aidée par un psy. Il n'y a pas besoin d'avoir vécu des choses terribles pour souffrir. Et il est souvent difficile de trouver seul le chemin pour se comprendre.