L'effort à aller mieux (voire bien)
Posté : mer. 24 août 2016, 09h41
Bonjour.
Pour moi, une partie des soucis viennent de pensées et émotions qui sont trop automatiques, subites et/ou massives pour que je puisse réagir selon mes idéaux rationnels. Ca me donne généralement d'avoir été submergé, emporté par un courant face auquel "je n'ai rien pu faire".
D'après mon peu d'expérience à canaliser l'ensemble, pour que ça fonctionne, ça se joue soit en prévention (s'arranger pour que la vague n'arrive jamais ou le moins possible). Soit précisément au moment où la vague arrive. À ce moment là, on pourrait imaginer un space invaders, notre arme étant de déconstruire les idées automatiques qui déferlent, les rendre moins faciles à accepter.
Je le vis ainsi, et j'ai l'impression que, sans être miraculeux, ça a vraiment amélioré ma vie.
Mais ça me coûte toujours beaucoup d'énergie.
Alors parfois je n'ai pas le courage.
Est-ce un manque de volonté ? (et alors si c'est ça, paresse ou patho ?)
Ou est-ce cet effort là qui est simplement parfois trop important pour pouvoir le fournir en étant face à la vague ?
Idem en prévention, avec l'impression d'épuisement à fonctionner de travers, parfois je manque de courage à me discipliner.
Qu'en est-il pour vous ?
Quel est votre effort à aller mieux, et à quel point est-il coûteux ? Comment faites-vous quand vous avez l'impression que c'est trop dur gérer ? Pensez-vous qu'on peut s'y forcer sans dégâts, ou bien est-ce le genre de fatigue à écouter ?
Pour moi, une partie des soucis viennent de pensées et émotions qui sont trop automatiques, subites et/ou massives pour que je puisse réagir selon mes idéaux rationnels. Ca me donne généralement d'avoir été submergé, emporté par un courant face auquel "je n'ai rien pu faire".
D'après mon peu d'expérience à canaliser l'ensemble, pour que ça fonctionne, ça se joue soit en prévention (s'arranger pour que la vague n'arrive jamais ou le moins possible). Soit précisément au moment où la vague arrive. À ce moment là, on pourrait imaginer un space invaders, notre arme étant de déconstruire les idées automatiques qui déferlent, les rendre moins faciles à accepter.
Je le vis ainsi, et j'ai l'impression que, sans être miraculeux, ça a vraiment amélioré ma vie.
Mais ça me coûte toujours beaucoup d'énergie.
Alors parfois je n'ai pas le courage.
Est-ce un manque de volonté ? (et alors si c'est ça, paresse ou patho ?)
Ou est-ce cet effort là qui est simplement parfois trop important pour pouvoir le fournir en étant face à la vague ?
Idem en prévention, avec l'impression d'épuisement à fonctionner de travers, parfois je manque de courage à me discipliner.
Qu'en est-il pour vous ?
Quel est votre effort à aller mieux, et à quel point est-il coûteux ? Comment faites-vous quand vous avez l'impression que c'est trop dur gérer ? Pensez-vous qu'on peut s'y forcer sans dégâts, ou bien est-ce le genre de fatigue à écouter ?