Comment reagissez vous aux critiques ? Aux insultes ?
Indifference ? Colere ? Ou alors vous prenez sur vous ?
Ca dépend peut etre...
Moi je le prend tres mal. On a beau me dire "oublie" ou "n'y fait pas attention", je peux pas. Avant, c'etait toujours ultra-destructeur, je me detestais tellement que c'etait comme une confirmation, ca entrainait quasi-systematiquement de l'AM.
Maintenant, ca va mieux, mais je suis bien obligee d'admettre que les critiques negatives ont beaucoup plus d'importance a mes yeux.
Et puis, si je me dis que c'est vrai, ca fait mal et le peu d'amour-propre que j'ai reussi a gagner vacille. Si je me dis que c'est faux, que je suis pas comme ca, que c'est pas ma faute ou que j'avais raison, je finis par me trouver orgueilleuse. Refuser une critique, c'est se trouver une qualité, et ca, j'ai beaucoup de mal.
Et vous ?
Réagir aux critiques
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La douleur qui se tait n'en est que plus funeste.
RAC. Androm. III, 3.
RAC. Androm. III, 3.
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Vincent
Bonsoir à tous,
Alors comment je réagis aux critiques.
Bah en fait on ne m?a jamais fait de critiques directes. En ce qui me concerne, ce n?est pas en ces termes que ça se pose. C?est plutôt en terme de confiance, c?est à dire que certaines personnes, et particulièrement une ex avec qui les relations sont spécialement conflictuelles, me dit que l?on peut pas me faire confiance. Je suis quelqu?un qui se brûlait donc j?ai un truc qui cloche dans ma tête, je ne sais pas distinguer ce qui est bon pour moi, je ne sais pas distinguer la réalité de ce qui se passe dans ma tête. D?une certaine façon, je suis malade et mes allers et retours en institution le prouvent. A partir de ce raisonnement, bah on peut déduire plein de choses. Je ne suis pas stable, je ne suis pas fiable, je suis inconstant, je ne peux pas avoir de relation amoureuse, je ne peux pas avoir des amis normalement. Voilà en gros ce que pense mon ex. Mais bien sûr ce n?est pas le cas de mes amis qui se garderaient bien de faire ce genre de critiques. Ils pensent que j?ai des difficultés et que je suis un tantinet décalé. Ils peuvent peut être penser que je suis malade mais n?en déduisent rien d?aberrent.
Sinon, des critiques comme « tu es fou », « t?es vraiment con de faire ça », « t?es stupide », je n?y jamais été confronté. D?une certaine manière, j?ai été épargné par la stupidité des gens et j?avouerai que j?en suis assez content.
Alors comment je réagis aux critiques.
Bah en fait on ne m?a jamais fait de critiques directes. En ce qui me concerne, ce n?est pas en ces termes que ça se pose. C?est plutôt en terme de confiance, c?est à dire que certaines personnes, et particulièrement une ex avec qui les relations sont spécialement conflictuelles, me dit que l?on peut pas me faire confiance. Je suis quelqu?un qui se brûlait donc j?ai un truc qui cloche dans ma tête, je ne sais pas distinguer ce qui est bon pour moi, je ne sais pas distinguer la réalité de ce qui se passe dans ma tête. D?une certaine façon, je suis malade et mes allers et retours en institution le prouvent. A partir de ce raisonnement, bah on peut déduire plein de choses. Je ne suis pas stable, je ne suis pas fiable, je suis inconstant, je ne peux pas avoir de relation amoureuse, je ne peux pas avoir des amis normalement. Voilà en gros ce que pense mon ex. Mais bien sûr ce n?est pas le cas de mes amis qui se garderaient bien de faire ce genre de critiques. Ils pensent que j?ai des difficultés et que je suis un tantinet décalé. Ils peuvent peut être penser que je suis malade mais n?en déduisent rien d?aberrent.
Sinon, des critiques comme « tu es fou », « t?es vraiment con de faire ça », « t?es stupide », je n?y jamais été confronté. D?une certaine manière, j?ai été épargné par la stupidité des gens et j?avouerai que j?en suis assez content.
En fait, c'est pas seulement des critiques en rapport avec nos 'problemes' que je parlais. Parce qu'en fait, c'est pratiquement les seules auxquelles je ne reagis pas trop mal. C'est sur ca que j'ai le plus réflechit, et je connais trop le domaine pour me laisser avoir par qqun qui jugerait l'acte 'fou', 'idiot', ou pire.
Non, le probleme, c'est toutes les reflexions sur moi, qu'on m'agresse verbalement ou qu'on me dise que j'ai mal fait qque chose. Je ne peux que me dire que c'est vrai, et que je suis la cause de ce qui ne va pas.
Par exemple, la semaine derniere, j'ai recu un message tres agressif me disant que je n'y connaissais rien à un jeu, que j'avais jamais dû y jouer et que j'osais en parler pour dire des betises sur les forums. Ceux à qui j'en ai parlé en ont rit : j'ai gagné le plus grand tournoi ayant jamais existé de ce jeu, et suis meme consideree comme une reference par certains. Mais je persiste a croire que ce gars avait raison, que j'ai juste eu de la chance une fois mais que je n'y connais rien, que ce que j'ecris sur les forums est idiot et hors-sujet...
Et je continue a y penser pendant des jours, alors qu'au fond, je sais bien que c'est rien et que je ne connais meme pas la personne et ne la verrai probablement jamais.
Alors, imaginez ma reaction quand c'est "en vrai" avec quelqu'un que je connais...
Y aurait-il un truc pour juste "ne plus y penser" ?
Non, le probleme, c'est toutes les reflexions sur moi, qu'on m'agresse verbalement ou qu'on me dise que j'ai mal fait qque chose. Je ne peux que me dire que c'est vrai, et que je suis la cause de ce qui ne va pas.
Par exemple, la semaine derniere, j'ai recu un message tres agressif me disant que je n'y connaissais rien à un jeu, que j'avais jamais dû y jouer et que j'osais en parler pour dire des betises sur les forums. Ceux à qui j'en ai parlé en ont rit : j'ai gagné le plus grand tournoi ayant jamais existé de ce jeu, et suis meme consideree comme une reference par certains. Mais je persiste a croire que ce gars avait raison, que j'ai juste eu de la chance une fois mais que je n'y connais rien, que ce que j'ecris sur les forums est idiot et hors-sujet...
Et je continue a y penser pendant des jours, alors qu'au fond, je sais bien que c'est rien et que je ne connais meme pas la personne et ne la verrai probablement jamais.Alors, imaginez ma reaction quand c'est "en vrai" avec quelqu'un que je connais...
Y aurait-il un truc pour juste "ne plus y penser" ?
La douleur qui se tait n'en est que plus funeste.
RAC. Androm. III, 3.
RAC. Androm. III, 3.
Ca dépend des critique que l'on me formule.
Par exemple, si je déconne avec un pote et que il commence a me dire arrete t'est lourd, sur le coup ca me fais mal, mais ca s'en va très vite.
Si en revanche c'est sur quelque chose de plus profond, comme, tu est laid, tu est con, tu est prétentieux ou tout un tas de remarque comme ca, alors j'y réfléchis, encore et encore. Je me dis que je devrai essayer de changer, mais je n'ai jamais trouvé l'interrupteur miracle pour allumer et éteindre les défaut que l'on peut avoir.
Souvent lorsque que l'on m'oppose une critique, je la refuse dans un premier temp, puis je dis, ok il a raison, et je me remet encore plus en question. Par exemple, j'ai une amie avec qui on parle souvent de politique, d'économie, de philosophie même parfois. Les débat sont vif, et même si j'ai de très bon arguments, souvent je me range derrière elle, alors que jusqu'a ce que je lui parle j'avais une fois inébranlable en mes argument. Même si je gagne la "joute" verbale, je vais me remettre en question derrière.
D'une façon général je m'écrase, sauf devant peu de personne. Ma mère peut me critiquer tout ce qu'elle veut, ca me feras mal, mais je lui renverai la balle encore plus violement.
Si quelqu'un me critique alors je vais tout de suite me sentir coupable et je vais essayer de me faire pardonné. Et même si une forme de pardon m'est accordé, il ne me suffis pas, je culpabiliserai, d'avoir dépasser des limites, de ne pas être normal, de ne pas être respectable.
Par exemple, si je déconne avec un pote et que il commence a me dire arrete t'est lourd, sur le coup ca me fais mal, mais ca s'en va très vite.
Si en revanche c'est sur quelque chose de plus profond, comme, tu est laid, tu est con, tu est prétentieux ou tout un tas de remarque comme ca, alors j'y réfléchis, encore et encore. Je me dis que je devrai essayer de changer, mais je n'ai jamais trouvé l'interrupteur miracle pour allumer et éteindre les défaut que l'on peut avoir.
Souvent lorsque que l'on m'oppose une critique, je la refuse dans un premier temp, puis je dis, ok il a raison, et je me remet encore plus en question. Par exemple, j'ai une amie avec qui on parle souvent de politique, d'économie, de philosophie même parfois. Les débat sont vif, et même si j'ai de très bon arguments, souvent je me range derrière elle, alors que jusqu'a ce que je lui parle j'avais une fois inébranlable en mes argument. Même si je gagne la "joute" verbale, je vais me remettre en question derrière.
D'une façon général je m'écrase, sauf devant peu de personne. Ma mère peut me critiquer tout ce qu'elle veut, ca me feras mal, mais je lui renverai la balle encore plus violement.
Si quelqu'un me critique alors je vais tout de suite me sentir coupable et je vais essayer de me faire pardonné. Et même si une forme de pardon m'est accordé, il ne me suffis pas, je culpabiliserai, d'avoir dépasser des limites, de ne pas être normal, de ne pas être respectable.
Un ange est mort
Ysilne se demande comment mieux vivre les remarques, les critiques.
Je pense que prendre conscience que la réaction est disproportionnée avec l'attaque est un 1er pas.
L'estime de soi, la confiance en soi, c'est très fragile pour tout le monde (ou alors c'est inquiétant), et à chaque coup cela vacille un peu, et c'est tous les jours que cela a besoin d'être nourri par de l'affection, de la réussite... et aussi le sentiment de faire mieux qu'un autre, d'être bon dans un domaine, etc...
Plus on a eu d'expériences de réussite et mieux on réagit... Alors peut-être qu'il faut déjà regarder plus le positif que le négatif, savoir se dire tous les jours quelque chose de bien, même si c'est simplement "j'ai réussi à me lever, ou à me laver, ou à sortir, à aller au lycée" ; car pour certains cela a représenté beaucoup d'effort, c'est une victoire. Chacun à ses réussites. Dommage que spontanément on se compare toujours aux autres (mais toute notre culture veut ça !).
On peut essayer aussi d'écouter ceux qui nous aiment ; ce sont les seuls que l'on doit croire.
Je pense que prendre conscience que la réaction est disproportionnée avec l'attaque est un 1er pas.
L'estime de soi, la confiance en soi, c'est très fragile pour tout le monde (ou alors c'est inquiétant), et à chaque coup cela vacille un peu, et c'est tous les jours que cela a besoin d'être nourri par de l'affection, de la réussite... et aussi le sentiment de faire mieux qu'un autre, d'être bon dans un domaine, etc...
Plus on a eu d'expériences de réussite et mieux on réagit... Alors peut-être qu'il faut déjà regarder plus le positif que le négatif, savoir se dire tous les jours quelque chose de bien, même si c'est simplement "j'ai réussi à me lever, ou à me laver, ou à sortir, à aller au lycée" ; car pour certains cela a représenté beaucoup d'effort, c'est une victoire. Chacun à ses réussites. Dommage que spontanément on se compare toujours aux autres (mais toute notre culture veut ça !).
On peut essayer aussi d'écouter ceux qui nous aiment ; ce sont les seuls que l'on doit croire.
Je ne supporte plus les critiques, parce que c'est a longueur de journée. soit je laisse courir comme bien souvent, en oubliant jamais ce que valent les gens. (parce faut pas venir gratter l'amitié une fois qu'on a insulté quelqu'un dans son dos) tout ce sais, je sais ce que l'on dit sur moi quand je suis pas là, généralement je m'en fout. Je n'accepte les critiques que de mes vraies amis, quand je sais que c'est dans un but d'aide et pas de la méchanceté gratuite.
Par contre depuis quelque temps quand une personne que je ne connais pas viens me critiquer, me faire chier ou autre, j'ai tendance à vouloir lui rentrer dedans, et je ne m'en prive pas.
Par contre depuis quelque temps quand une personne que je ne connais pas viens me critiquer, me faire chier ou autre, j'ai tendance à vouloir lui rentrer dedans, et je ne m'en prive pas.
suicide.fr.nf
Le pire c'est que je sais que je mourrai triste...
Le pire c'est que je sais que je mourrai triste...
Oh, j'avais oublié. 
Depuis le premier message, en 2005, ca a pas mal changé pour moi.
Je réagis toujours mal aux critiques, parce que quand on se reconstruit c'est dangereux, ca risque de remettre en cause notre progression. Mais meme si ca fait mal, je gère.
J'ai encore ce soucis de négatif = douloureux, positif = orgueilleux. Mais moins. Je dois bien reconnaitre que je n'ai pas que des defauts. Donc les critiques ne m'atteignent plus aussi directement.
Depuis le premier message, en 2005, ca a pas mal changé pour moi.
Je réagis toujours mal aux critiques, parce que quand on se reconstruit c'est dangereux, ca risque de remettre en cause notre progression. Mais meme si ca fait mal, je gère.
J'ai encore ce soucis de négatif = douloureux, positif = orgueilleux. Mais moins. Je dois bien reconnaitre que je n'ai pas que des defauts. Donc les critiques ne m'atteignent plus aussi directement.
La douleur qui se tait n'en est que plus funeste.
RAC. Androm. III, 3.
RAC. Androm. III, 3.
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rougedesang
- Messages : 60
- Enregistré le : mar. 16 oct. 2007, 18h54
- Localisation : Dordogne
Les critiques m'atteignent dans le sens ou je n'arrive pas à faire la différence entre celles qui sont constuctives et celles qui ne le sont pas! On me dit quelque chose et je le prend pour argent comptant même si c'est sans fondement. Je suis d'acord avec ces critiques et je me sens coupable, nulle...très nulle
Et quand on essai de faire des choses, la moindre critique peut être fatale et on peut vite ne plus rien entreprendre!
Et quand on essai de faire des choses, la moindre critique peut être fatale et on peut vite ne plus rien entreprendre!
Je suis, semble-t-il, un mystère, un asile où seul un fou peut se plaire...
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Pandora
- Ancien modérateur
- Messages : 4256
- Enregistré le : mer. 26 mai 2004, 14h47
- Localisation : Rhône-Alpes
Comment je réagis aux critiques... Mal. Très mal. Je me braque d'entrée de jeu. On me le reproche souvent. Je suis tellement sur la défensive que, parfois, un rien fait mouche. Cela me fait l'effet d'un coup de poignard. Parfois je rétorque en agressant, ma famille notamment, mais c'est souvent le silence, toujours avec eux. Parce que je suis blessée. Et parce qu'ils ne ratent jamais une occasion.
Qui croyais-tu que j'étais ?
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
La plupart des critiques ne m'atteignent pas, hormis si elles sont fondées et qu'elles viennent d'une personne proche.
Généralement je pense à ce qu'on me dit, si besoin je me remets en question et j'essaye de changer, sinon j'oublie totalement. ça me passe par-dessus la tete.
( j'essaye d'ailleurs pour répondre à ce sujet de me rappeler une critique qu'on aurait pu me faire pour repenser à comment j'ai réagi, mais aucun souvenir ... j'ai la faculté d'oublier trèèès facilement à peu près tout )
Généralement je pense à ce qu'on me dit, si besoin je me remets en question et j'essaye de changer, sinon j'oublie totalement. ça me passe par-dessus la tete.
( j'essaye d'ailleurs pour répondre à ce sujet de me rappeler une critique qu'on aurait pu me faire pour repenser à comment j'ai réagi, mais aucun souvenir ... j'ai la faculté d'oublier trèèès facilement à peu près tout )
"On aimerait tout oublier souvent
Et partir comme ça sans raison
Et tout laisser le pire le bon "
Et partir comme ça sans raison
Et tout laisser le pire le bon "
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Demoiselle
- Messages : 293
- Enregistré le : mar. 16 janv. 2007, 17h43
- Localisation : Prisonnière de mes pensées
j'essaye de ne pas montrer que je réagis.
J'ai eu le droit à : (bon okay il avait raison, je vous l'accorde) quelqu'un de ma classe :
T'as quoi sur la joue ? mon chat m'a griffé [un autre élève passe] dis plutôt que ton cutter est passé par là ! *rigole*
et aux : tiens, bonne idée les mitaines en volley voui [le même élève qui passait] c'est pas plutôt pour cacher les marques ?
J'ai également eu des critiques lorsqu'on avait piscine, j'avais un bandage au bras, pas l'choix.
Sinon, on a parlé du suicide en ECJS et ce même élève (acharnement moi j'vous dis XD) : c'est comme O. ! *tout le monde rigole*
(me suis énervée, grand silence dans la classe)
je montre que ca ne m'atteint pas mais en vérité ca me détruit
J'ai eu le droit à : (bon okay il avait raison, je vous l'accorde) quelqu'un de ma classe :
T'as quoi sur la joue ? mon chat m'a griffé [un autre élève passe] dis plutôt que ton cutter est passé par là ! *rigole*
et aux : tiens, bonne idée les mitaines en volley voui [le même élève qui passait] c'est pas plutôt pour cacher les marques ?
J'ai également eu des critiques lorsqu'on avait piscine, j'avais un bandage au bras, pas l'choix.
Sinon, on a parlé du suicide en ECJS et ce même élève (acharnement moi j'vous dis XD) : c'est comme O. ! *tout le monde rigole*
(me suis énervée, grand silence dans la classe)
je montre que ca ne m'atteint pas mais en vérité ca me détruit
Si seulement je n'avais oublié d'exister
Comment reagissez vous aux critiques ? Aux insultes ?
Oula. Déjà, peu de gens sont au courant. Juste des personnes qui m'ont ' capté ' en train de faire mes 'conneries'. Jeudi, sport => j'avais oublié mon tee-shirt a manche longue et faire avec mon pull non merci. Donc bras nue donc cicatrices devants les yeux des autres. Une copine de classe, passe pres de moi et me fait :
' Ben qu'est ce qui t'es arrivé ? " " C'est mon chat. C'est un sauvage ! " " Mouais, si tu le dis. "
( l'excuse du chat marche bien xD une autre m'a cru >< ) J'ai été très touché meme si je rigolais. apres, je cachais plus mes bras. Repli.
En cours, ( en math surtout --' ) mon voisin a déjà capté. Aussitot il a relevé ma manche jusqu'en haut, les yeux grand ouverts. ( j'ai rebaissée ma manche parce que bon )
" Mais t'es malade ? T'es une folle ! T'es dingue ! Tu devrais aller en HP ! "
J'ai rien répondu. J'ai été blessée. Je pensais qu'il ne dirais rien, comme mes meilleures amies que j'ai mis au courant.
Je me rebique. Me renferme. Ou explose. Selon l'humeur.
Oula. Déjà, peu de gens sont au courant. Juste des personnes qui m'ont ' capté ' en train de faire mes 'conneries'. Jeudi, sport => j'avais oublié mon tee-shirt a manche longue et faire avec mon pull non merci. Donc bras nue donc cicatrices devants les yeux des autres. Une copine de classe, passe pres de moi et me fait :
' Ben qu'est ce qui t'es arrivé ? " " C'est mon chat. C'est un sauvage ! " " Mouais, si tu le dis. "
( l'excuse du chat marche bien xD une autre m'a cru >< ) J'ai été très touché meme si je rigolais. apres, je cachais plus mes bras. Repli.
En cours, ( en math surtout --' ) mon voisin a déjà capté. Aussitot il a relevé ma manche jusqu'en haut, les yeux grand ouverts. ( j'ai rebaissée ma manche parce que bon )
" Mais t'es malade ? T'es une folle ! T'es dingue ! Tu devrais aller en HP ! "
J'ai rien répondu. J'ai été blessée. Je pensais qu'il ne dirais rien, comme mes meilleures amies que j'ai mis au courant.
Je me rebique. Me renferme. Ou explose. Selon l'humeur.
Moi c'est le contraire et du coup quand je parle avec les gens que je connais je sais toujours a quoi m'en tenir, surtout avec la famille.Selenite a écrit : j'ai la faculté d'oublier trèèès facilement à peu près tout )
Tu sais "les absents ont toujours tore" sauf que moi je fini par tout savoir (genre je suis parano xD ).
Avec mes "ennemis" je me suis mis a l'ingénierie social.
suicide.fr.nf
Le pire c'est que je sais que je mourrai triste...
Le pire c'est que je sais que je mourrai triste...