Un rien m'effrai et très peut de choses me réconforte. Ma peur des hommes est toujours presente. En faite, à part deux ou trois collégue, je n'arrive pas à rester seul avec un homme près de moi. J'aimerais pouvoir reparler de tous ça à ma mère, mais c'est impossible. Je ne sais plus trop quoi faire. Je dors mal et je fais de nombreux cauchemards. Et puis quant je décroche de l'ordi, de mes jeux vidéo ou de mes livres, la réalité me sautte dessus ! Et elle est moche. Vraiment moche. Orphelin et seul. Un frère qui m'évite... Mais quand même, j'ai quelques amis et un peu de famille. Mais je n'ai rien. Ni diplome, ni formation, ni quoi que çe soit de professionel. Je suis seul. Seul depuis le début. J'ai toujours été seul. Et là, a deux doigts de la crise de nerfs et de la dépression, je me sens tel un fugeur. Perdu et laissé sur les rives d'une terrible réalité. Lorsque je regarde mes lames, j'y vois comme des échapatoires. Des solution saigante face à des choses trop lourdes à porter. Elles sont là, si belle et argenté. Mais je ne passe pas à l'acte, ça ira comme ça les cicatrices sur mes bras ou mon ventre... Mais pourtant, l'envie est toujours là... J'ai parfois l'impression qu'il n'y a que la psychiatrie qui puisse me venir en aide. je vais déjà trois fois par semaines danc ce centre de jour. Mais c'est faut, je sais qu'il y a aussi ma famille. Mais je n'ose plus aller vers eux. Alors j'écoute de la musique, je regarde des films ou je joues à mes jeux vidéo, priant pour oublier l'horreur que la réalité fut pour moi lorsque, dans mes bras, ma mère est morte. La râge que j'ai envers le pervers qui avait abusé de moi tous les jours sans répis, durant une année scolaire me rend complétement dingue ! Je pense aussi que l'am vient de là. Enfin, il y a pleins de facteurs à prendre en conte.
Je ne sais pas si cet article va aider qui que ce soit, mais j'avais besoin de l'écrire.