Pourquoi ?
Pourquoi ?
Bonjour, je suis venue sur ce forum parce que je m'auto-mutile... Et que je ne sais pas à qui en parler.
Je ne sais pas vraiment pourquoi je le fait, mais sans ces coupures sur mon bras, je me sens affreusement mal.
Je n'en ai pas parlé à ma famille par peur de rejet, même si mon frère l'as vue, il ignore totalement ce fait.
Des amis l'on malencontreusement appris, et un en particulier s'obstine à me faire promettre d'arrêter et veux savoir pourquoi je fait ça. J'aimerais savoir aussi, je n'ai pas envie de mourir, mais ni envie de vivre non plus...
Si des gens ici ont réussi à arrêter, pourrait il me donner des conseils svp ?
Je ne sais pas vraiment pourquoi je le fait, mais sans ces coupures sur mon bras, je me sens affreusement mal.
Je n'en ai pas parlé à ma famille par peur de rejet, même si mon frère l'as vue, il ignore totalement ce fait.
Des amis l'on malencontreusement appris, et un en particulier s'obstine à me faire promettre d'arrêter et veux savoir pourquoi je fait ça. J'aimerais savoir aussi, je n'ai pas envie de mourir, mais ni envie de vivre non plus...
Si des gens ici ont réussi à arrêter, pourrait il me donner des conseils svp ?
Je me souviens avoir tenue ta main pour m'endormir,
En me réveillant j'y ai trouvé une lame . . .
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- Pandora
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Re: Pourquoi ?
Pourquoi... ?
Toi seule peut répondre à cette question. Nous n'avons pas de remèdes miracles, de conseils merveilleux à te donner. Chacun apprend au fur et à mesure de son quotidien avec l'AM. Chacun apprend les pièges, les besoins, les réflexes, jusqu'à suffisamment bien connaître les raaisons qui poussent à s'AM.
As-tu déjà envisagé un suivi psychologique ? Tu parles de ta famille, quel âge as-tu ? Vis-tu avec tes parents ?
Donne-nous, si tu le veux bien, plus d'informations sur toi. Cela nous permettra de t'aider au mieux.
Toi seule peut répondre à cette question. Nous n'avons pas de remèdes miracles, de conseils merveilleux à te donner. Chacun apprend au fur et à mesure de son quotidien avec l'AM. Chacun apprend les pièges, les besoins, les réflexes, jusqu'à suffisamment bien connaître les raaisons qui poussent à s'AM.
As-tu déjà envisagé un suivi psychologique ? Tu parles de ta famille, quel âge as-tu ? Vis-tu avec tes parents ?
Donne-nous, si tu le veux bien, plus d'informations sur toi. Cela nous permettra de t'aider au mieux.
Qui croyais-tu que j'étais ?
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
Re: Pourquoi ?
Bonjour Nekia, et bienvenue ici. 
Tu as commencé dans qeulles circonstances ? Il s'etait passé quelque chose en particulier ou pas ?
Qu'est ce que tu ressens quand tu as besoin de te blesser ?
Des conseils, on peut en donner, mais c'est pas evident : comme le dit Pandora, pas de remède miracle. Et les quelques "petits trucs" qui existent ne fonctionnent pas pour tout le monde. J'ai arreté, ca ne me permet pas de te donner une solution, malheureusement.
Tu n'as personne de proche de toi avec qui tu peux parler librement ?

Tu as commencé dans qeulles circonstances ? Il s'etait passé quelque chose en particulier ou pas ?
Qu'est ce que tu ressens quand tu as besoin de te blesser ?
Des conseils, on peut en donner, mais c'est pas evident : comme le dit Pandora, pas de remède miracle. Et les quelques "petits trucs" qui existent ne fonctionnent pas pour tout le monde. J'ai arreté, ca ne me permet pas de te donner une solution, malheureusement.
Tu n'as personne de proche de toi avec qui tu peux parler librement ?
La douleur qui se tait n'en est que plus funeste.
RAC. Androm. III, 3.
RAC. Androm. III, 3.
Re: Pourquoi ?
j'ai 14 ans donc oui je vis avec mes parents.
J'ai envisagé de voir un psychiatre, mais cela implique de le dire à mes parents, et si je vais voir la psychiatre de mon collège, elle doit le dire à mes parents. J'ai des amis avec qui j'en parle, mais ils veulent toujours voir mon bras, me forcer à arrêter... Je les aime bien, mais leur réaction est éttoufante.
Je ne sais pas trop comment j'ai commencer, peut-être parce que je ne me suis jamais intégrée?
Quand je le fait je me "libère" en quelque sorte, mais après j'ai honte de l'avoir fait, je me dit que de toute façon ça n'arrange pas les choses.
J'ai envisagé de voir un psychiatre, mais cela implique de le dire à mes parents, et si je vais voir la psychiatre de mon collège, elle doit le dire à mes parents. J'ai des amis avec qui j'en parle, mais ils veulent toujours voir mon bras, me forcer à arrêter... Je les aime bien, mais leur réaction est éttoufante.
Je ne sais pas trop comment j'ai commencer, peut-être parce que je ne me suis jamais intégrée?
Quand je le fait je me "libère" en quelque sorte, mais après j'ai honte de l'avoir fait, je me dit que de toute façon ça n'arrange pas les choses.
Je me souviens avoir tenue ta main pour m'endormir,
En me réveillant j'y ai trouvé une lame . . .
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- Pandora
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Re: Pourquoi ?
Non, en effet, cela n'arrange pas les choses, cela les empirent à la rigueur parce qu'il faut cacher aux parents, aux amis parce que leur réaction est trop lourde, étouffante comme tu le dis très bien, etc...Quand je le fait je me "libère" en quelque sorte, mais après j'ai honte de l'avoir fait, je me dit que de toute façon ça n'arrange pas les choses.
Mais pour se sortir de ça le plus rapidement possible, il est important de prendre le mal à la racine. Tu es jeune. Je peux te donner un conseil : n'attends pas ! Prends ton courage à deux mains et parles-en à tes parents, écris-leur une lettre si tu préfères. Demandes à voir un psy. C'est le principal conseil que je puisse te donner.
Qui croyais-tu que j'étais ?
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
Re: Pourquoi ?
Je vais essayer, mais l'avouer à mes parents pour moi c'est un peu comme le crier à tous le monde.
Merci pour les conseils en tout cas.
Merci pour les conseils en tout cas.
Je me souviens avoir tenue ta main pour m'endormir,
En me réveillant j'y ai trouvé une lame . . .
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- olp
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Re: Pourquoi ?
Salut Nekia!
Bienvenue ici, et puisses-tu trouver l'aide que tu cherches-et c'est un bon premier pas-pour avancer.
Moi aussi, j'avais ton age quand j'ai commencé. j'ai 18ans maintenant, et je ne m'automutile plus.
Pourtant, ne pense pas qu'il suffise d'attendre pour qu ça passe. peut-être que c'est parfois le cas (j'en sais rien), mais il faut souvent changer réellement quelqu chose (dans sa vie, ans son estime de soi, dans sa relation aux autres,...) pour que l'am cesse de devenir indispensable.
D'ici là, y'a des trucs, mais rien de miraculeux. Pas de panacée, ça non, parce que l'am révèle un malaise, mais qui est personnel et différent pour chacun, et qu'il faut résoudre soi-même.
Bref, ça pour te dire que, même si c'est difficile, meme si tu as peur de bouger, il faut trouver en toi la ressource damorcer un chnagement.
Au pire, si tu ne veux vraiment pas en parler à tes parents (pourquoi? que diraient-ils?),certains psy, intervenants dans le domaine de la jeunesse, pourraient peut-être ne pas en parler avec tes parents. sauf s'ils te croient en grand danger ils ne peuvent pas le faire.
Dans tous les cas, garde courage, et prends le temps de vraiment réfléchir aux deux questions d'Ysilne. c'est des classiques, et ca en révèle pas mal, à toi-même pour commencer, sur ce qui te soulagerait
Bienvenue ici, et puisses-tu trouver l'aide que tu cherches-et c'est un bon premier pas-pour avancer.
Moi aussi, j'avais ton age quand j'ai commencé. j'ai 18ans maintenant, et je ne m'automutile plus.
Pourtant, ne pense pas qu'il suffise d'attendre pour qu ça passe. peut-être que c'est parfois le cas (j'en sais rien), mais il faut souvent changer réellement quelqu chose (dans sa vie, ans son estime de soi, dans sa relation aux autres,...) pour que l'am cesse de devenir indispensable.
D'ici là, y'a des trucs, mais rien de miraculeux. Pas de panacée, ça non, parce que l'am révèle un malaise, mais qui est personnel et différent pour chacun, et qu'il faut résoudre soi-même.
Bref, ça pour te dire que, même si c'est difficile, meme si tu as peur de bouger, il faut trouver en toi la ressource damorcer un chnagement.
Au pire, si tu ne veux vraiment pas en parler à tes parents (pourquoi? que diraient-ils?),certains psy, intervenants dans le domaine de la jeunesse, pourraient peut-être ne pas en parler avec tes parents. sauf s'ils te croient en grand danger ils ne peuvent pas le faire.
Dans tous les cas, garde courage, et prends le temps de vraiment réfléchir aux deux questions d'Ysilne. c'est des classiques, et ca en révèle pas mal, à toi-même pour commencer, sur ce qui te soulagerait

"O douleur! ô douleur! le Temps mange la vie
Et l'obscur ennemi, qui nous ronge le coeur
Du sang que nous perdons croît et se fortifie"
Ch. BAUDELAIRE--Les fleurs du mal--l'Ennemi
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- Pandora
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- Localisation : Rhône-Alpes
Re: Pourquoi ?
Pourquoi, Nekia ? En quoi est-ce le crier à tout le monde ? Ce sont tes parents. Pas des démarcheurs de ragots sur ton compte. Tu n'as rien à perdre. Essaie ! Avant que l'AM ne devienne une habitude...Je vais essayer, mais l'avouer à mes parents pour moi c'est un peu comme le crier à tous le monde.
Qui croyais-tu que j'étais ?
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
- Amy
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- Enregistré le : lun. 06 juin 2005, 18h09
- Localisation : Quelque part dans l'univers
- Contact :
Re: Pourquoi ?
Coucou à toi ^^
Si tu veux faire une démarche sans forcément en parler à tes parents, il y a presque partout dans les hôpitaux des "plans familiaux" (si je me souviens bien du terme).
Tu peux consulter un psy gratuitement et en tout anonymat par rapport à tes parents.
Renseignes toi
Si tu veux faire une démarche sans forcément en parler à tes parents, il y a presque partout dans les hôpitaux des "plans familiaux" (si je me souviens bien du terme).
Tu peux consulter un psy gratuitement et en tout anonymat par rapport à tes parents.
Renseignes toi

I'm a fallen angel in a world of darkeness....
Re: Pourquoi ?
Hé bien, je sais que si je le dis à mes parents, toute ma famille le saura, et je devrais m'attendre à encor plus de reproche, mais queand je disais le "crier sur tous les toits" c'était surtout par rapport au sentiment qui s'en dégage.
Et pour moi l'am devient déjà une habitude...
Merci à tous je me renseignerais à l'hopital.
Et pour moi l'am devient déjà une habitude...
Merci à tous je me renseignerais à l'hopital.
Je me souviens avoir tenue ta main pour m'endormir,
En me réveillant j'y ai trouvé une lame . . .
En me réveillant j'y ai trouvé une lame . . .
Re: Pourquoi ?
Moi aussi mes parents ne sont pas au courant et mes amis le sont et un de mes amis a voulu m'aider ... Si il s'obstine à t'aider c'est parce qu'il ne veut pas que tu te fasse çaNekia a écrit : Je ne sais pas vraiment pourquoi je le fait, mais sans ces coupures sur mon bras, je me sens affreusement mal.
Je n'en ai pas parlé à ma famille par peur de rejet, même si mon frère l'as vue, il ignore totalement ce fait.
Des amis l'on malencontreusement appris, et un en particulier s'obstine à me faire promettre d'arrêter et veux savoir pourquoi je fait ça. J'aimerais savoir aussi, je n'ai pas envie de mourir, mais ni envie de vivre non plus...
J'aimerais tant oublier mes problèmes, mais surtout ne plus penser à "lui"