ATT Pauvre fille...
- Pandora
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ATT Pauvre fille...
Une journée a suffi à tout ruiner. Une seule putain de journée...
Un jour de moins, un jour de plus...
Une mort de près ou de loin...
Pauvre fille.
Avec tes rêves perdus, tes vocations à la con, tes projets foireux, ton avenir inexistant, ta quête illusoire, ton vent qui ressemble à de la pluie, ton sang qui mime la Vie...
Quelques minutes, un bref temps...
Quatre ans...
Pauvre fille.
Pauvre merde qui a voulu prendre son envol, qui a voulu fuir cette famille, pauvre chieuse qui voulait voir grand, qui voulait se fuir...
Regarde toi, regarde toi en face, pauvre conne... tu souris mais c'est une pauvre grimace dénuée de sens, tu ris ce n'est qu'un croassement qui jure avec la beauté de la Vie, sorcière ! sorcière ! sorcière ! tu ne fais que du mal autour de toi, utilise les gens, les brise sans pitié, aveuglée par ta peur de retourner à ce monde noir et sombre qui t'appartient. Tu meurs un peu plus chaque jour, tu continues bêtement de croire parce que la Vie t'a obligée à croire, je n'ai pas eu ma place dans la Mort, elle n'a pas voulu de moi, jamais... Elle m'a abandonné...
Pauvre fille.
Petite emmerdeuse née qui pourrit tout ce qu'elle touche du doigt, tu suis un chemin qui n'a pas de fin ensoleillée, tu le sais mais tu continues de marcher, parce que rejetée. Tu t'enfuis de partout où tu passes, laissant derrière toi, des coeurs et des âmes brisés, tu ne sais que te lamenter sur ton triste sort de sorcière offensée par la main de ta propre Mort. Ta belle Mort, celle qui te tendait les bras, celle à qui tu as pris la main mais qui t'a laissée choir parmi la boue et les rats.
Pauvre fille.
MOI.
Un jour de moins, un jour de plus...
Une mort de près ou de loin...
Pauvre fille.
Avec tes rêves perdus, tes vocations à la con, tes projets foireux, ton avenir inexistant, ta quête illusoire, ton vent qui ressemble à de la pluie, ton sang qui mime la Vie...
Quelques minutes, un bref temps...
Quatre ans...
Pauvre fille.
Pauvre merde qui a voulu prendre son envol, qui a voulu fuir cette famille, pauvre chieuse qui voulait voir grand, qui voulait se fuir...
Regarde toi, regarde toi en face, pauvre conne... tu souris mais c'est une pauvre grimace dénuée de sens, tu ris ce n'est qu'un croassement qui jure avec la beauté de la Vie, sorcière ! sorcière ! sorcière ! tu ne fais que du mal autour de toi, utilise les gens, les brise sans pitié, aveuglée par ta peur de retourner à ce monde noir et sombre qui t'appartient. Tu meurs un peu plus chaque jour, tu continues bêtement de croire parce que la Vie t'a obligée à croire, je n'ai pas eu ma place dans la Mort, elle n'a pas voulu de moi, jamais... Elle m'a abandonné...
Pauvre fille.
Petite emmerdeuse née qui pourrit tout ce qu'elle touche du doigt, tu suis un chemin qui n'a pas de fin ensoleillée, tu le sais mais tu continues de marcher, parce que rejetée. Tu t'enfuis de partout où tu passes, laissant derrière toi, des coeurs et des âmes brisés, tu ne sais que te lamenter sur ton triste sort de sorcière offensée par la main de ta propre Mort. Ta belle Mort, celle qui te tendait les bras, celle à qui tu as pris la main mais qui t'a laissée choir parmi la boue et les rats.
Pauvre fille.
MOI.
Qui croyais-tu que j'étais ?
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
- KaJaGooGoo
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Oriane, je ne sais pas trop quoi te répondre de très constructif, mais je ne pense pas que tu pourrisses tout ce que tu touches...
La Mort, on s'en rapproche tous, jour après jour, essayons donc de penser à cette vie qui nous file entre les doigts pour en faire autre chose que nous massacrer (je suis bien placé pour te dire ça moi
mais là n'est pas la question)
Les rêves perdus, je sais... Mais on en fait d'autres. Et on construit quelques projets auxquels l'on parvient un beau jour, et on se sent renaitre. Pouah, ça ressemble à du Walt Disney écrit comme ça, mais pourtant je veux qu'on y croie, parce que la vie nous réserve aussi notre instant de bonheur, si court soit-il, il aura valu le coup.
Même si tu as été offensée, tu es restée une fée pour nous tous...
N'abandonne pas Oriane
Pensées.
Vincent
La Mort, on s'en rapproche tous, jour après jour, essayons donc de penser à cette vie qui nous file entre les doigts pour en faire autre chose que nous massacrer (je suis bien placé pour te dire ça moi

Les rêves perdus, je sais... Mais on en fait d'autres. Et on construit quelques projets auxquels l'on parvient un beau jour, et on se sent renaitre. Pouah, ça ressemble à du Walt Disney écrit comme ça, mais pourtant je veux qu'on y croie, parce que la vie nous réserve aussi notre instant de bonheur, si court soit-il, il aura valu le coup.
Même si tu as été offensée, tu es restée une fée pour nous tous...
N'abandonne pas Oriane
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Vincent
Leçon quotidienne de retenue : songer, ne fût-ce que la durée d'un éclair, qu'un jour on parlera de nos restes. [Emile Cioran]
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- Pandora
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J'ai appris que je ne pouvais pas grand chose, tout ce que j'ai souhaité accomplir de positif dans ma vie n'a jamais été accompli. Pourquoi ? Parce que je monte des projets foireux, de projets bancaux, des projets aussi fragiles qu'un nuage de fumée. Le pire est que je pense que je les mets volontairement en échec, afin que ma vie soit un échec et que la seule solution soit d'en finir, c tellement plus simple. Je ne sais pas où je vais, je ne veux pas affronter l'avenir, cela m'effraie et m'angoisse trop. Alors je me laisse bercer par le vent et ne cherche pas à prendre les choses en main. Je laisse le temps grignoter les bases du projet puis je me rends compte que rien ne rime à rien et je tombe plus bas que terre, comme si cela me surprenait. Mais cela me surprend-il vraiment ? Car je sais souvent les choses au fond de moi-même même s'il me faut parfois des années avant de l'admettre réellement. Je fuis. Sans cesse. C ce que j'appelle de la lâcheté, je hais la lâcheté. Je déteste ça. C minable, c faux, c pitoyable comme comportement. Et je constate. Je constate l'échec de 4 ans, l'échec d'un début de vie que j'ia voulu ambitieux et qui c révélé être ridicule. J'ai voulu prouver des choses à ma famille. Aujourd'hui j'ai pitié de cette volonté. J'ai pitié de cette pauvre fille qui s'est ramassée les dents sur le bêton. J'ai pitié de cette pauvre fille qui a voulu croire en la Vie, une dernière fois. J'avais tout. Je travaillais bien, j'avais de l'avenir, j'ai tout foutu en l'air, j'ai travaillé à tout rater, à me faire une vie emplie de bordel en permanence. J'ai travaillé à tout foutre en l'air pour avoir ensuite l'excuse de ME foutre en l'air, ce que j'ai fait, j'y ai consacr& toute mon énergie, me bâtir un chemin de ratée ! c'était mon objectif, je le savais, j'ai toujours voulu être une fille à prbms et puis les prbms m'ont rattrappé. Et là, je me dis mais quelle conne ! Regarde-toi ! Ici, je croise des gens qui étaient en cours avec moi, qui étaient nullissimes en cours et qui ont réussi mieux que moi, pourquoi ? parce que moi je me suis tapée une phase à 18 ans et que cette foutue phase a duré 4 ans. Et j'ai honte ! J'ai honte de moi. J'ai honte de moi vis à vis de ma famille, vis à vis de mes frères, vis à vis de moi-même. je suis la honte de la famille, la ratée, la merde ambulante ! Celle dont on ne veut pas. La plaie. Le boulet. Et je croûle sous la honte, la honte de ce cuisant échec... Pfff, je ne sais même pas pourquoi je me lamente. ce qui est fait est fait, mais je voudrais rentrer dans un trou de souris.
C du poison qui coule dans mes veines.
C ce poison dont je veux me débarrasser par l'AM.
Ma vie est un poison.
Mon existence ets un poison.
Je suis un poison.
C du poison qui coule dans mes veines.
C ce poison dont je veux me débarrasser par l'AM.
Ma vie est un poison.
Mon existence ets un poison.
Je suis un poison.
Qui croyais-tu que j'étais ?
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
Et moi, cette fille, je l'admire. Pour avoir essayé, avoir souffert, avoir survécu. Pour la reflexion qu'elle en a tiré, et sa capacité a regarder en arriere, a comprendre. Et puis, les etudes, au fond, ce n'est pas tant. Ce n'est pas le bonheur. Mieux vaut un debut chaotique, et une suite plus stable et raisonnee. Il te reste tant de temps, et tant de possibilités... 

- Pandora
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Peut-être que tant de temps et tant de possiblités me paniquent... Il est bien difficile de devoir prendre des décisions pour bâtir sa vie quand on est bien embêté d'être en vie...
Qui croyais-tu que j'étais ?
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
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Non rien n'est décidé, tout ce que je sais, c'est que je ne suis pas enùesure de prendre de quelconques décisions alors d'importantes autant ne pas y penser !
Comment puis-je envisager mon avenir ... je n'ai de réponses à aucune question. Si à celle-ci : comment puis-je faire des études en étant aux rugences trois soirs par mois, en étant bourrée chaque soirs d'un seul mois ? comment puis-je construire quelque chose ? quand je ne pense qu'à me détruire.
Non, je ne veux pas faire d'école d'infirmière, je sias que je peux mieux réussir, que j'ai les capacités de faire mieux, de faire ce que je veux, mais je commence même à me démotiver pour la psycho qui est mon unique centre d'intérêt. Pourquoi ? parce que si je n'ai pas de psote en internat (donc possibilité de temps plein), je ne pourrais faire des études en fac avec un suel temps partiel, je n'en peux plus de la galère financière, de la Banque de France qui me pend au nez tous les deux mois. J'en ai ma claque !
Et puis je croûle sous la honte d'en être là où je suis. Je rencontre des gens qui étaient en cours avec moi, qui me connaissent comme Oriane qui réussit tout, Oriane première de la classe, pas comme Oriane ratée et suicidante !!! Et je nage dans la honte ! C un trop grosse claque pour moi, je me sens une moins que rien, j'ai vraiment le sentiment d'avoir tout raté...
Comment puis-je envisager mon avenir ... je n'ai de réponses à aucune question. Si à celle-ci : comment puis-je faire des études en étant aux rugences trois soirs par mois, en étant bourrée chaque soirs d'un seul mois ? comment puis-je construire quelque chose ? quand je ne pense qu'à me détruire.
Non, je ne veux pas faire d'école d'infirmière, je sias que je peux mieux réussir, que j'ai les capacités de faire mieux, de faire ce que je veux, mais je commence même à me démotiver pour la psycho qui est mon unique centre d'intérêt. Pourquoi ? parce que si je n'ai pas de psote en internat (donc possibilité de temps plein), je ne pourrais faire des études en fac avec un suel temps partiel, je n'en peux plus de la galère financière, de la Banque de France qui me pend au nez tous les deux mois. J'en ai ma claque !
Et puis je croûle sous la honte d'en être là où je suis. Je rencontre des gens qui étaient en cours avec moi, qui me connaissent comme Oriane qui réussit tout, Oriane première de la classe, pas comme Oriane ratée et suicidante !!! Et je nage dans la honte ! C un trop grosse claque pour moi, je me sens une moins que rien, j'ai vraiment le sentiment d'avoir tout raté...
Qui croyais-tu que j'étais ?
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
C'est possible pourtant. Et en particulier, tu peux te reconstruire.Pandora a écrit :comment puis-je construire quelque chose ? quand je ne pense qu'à me détruire.
Comme on dit, y'a pas de sot métier. Moi, je trouve pas ca mal. Apres, ca peut ne pas te convenir, mais ce n'est pas une question de mieux, juste de plus adapté.Non, je ne veux pas faire d'école d'infirmière, je sias que je peux mieux réussir, que j'ai les capacités de faire mieux
Si tu es indécise, prends une année pour reflechir, remonter tes finances et ne pas te surmener quand meme. Ca evitera peut etre un achec, et ce n'est jamais vraiment a une annee pres. C'est mon avis, ce n'est peut etre pas le mieux pour toi...
La honte ? Parce que les gens ne jugent que sur la reussite sociale, et pas sur la personne...
- Pandora
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Je me suis mal exprimée avec le "mieux" quant à l'école d'infirmière. Le fait est que cela ne me convient pas, comme tu le dis justement. Cela ne me convient pas du tout. Ce n'est pas ce que je veux faire. C'est un projet qui aurait été parfait, mais qui l'est surtout au regard de mes parents, pas aux miens. Il faut savoir que mes parents m'ont clairement dit qu'ils avaient été déçus que je leur dise que je continuais en psycho malgré l'échec de cette année... si pour une fois, ils pouvaient me soutenir plutôt que de me regarder me planter incessamment...
Reprendre encore une année pour rélféchir ? Parfois j'y pense. Surtout pour me refaire une santé plus que pour une question de finance. Mais rélfexe : encore un an. Déjà 4 ... Cela m'abat plus qu'autre chose.
Les jours passent, les questions demeurent. Un seul regret, celui d'avoir planté mon retour à Grenoble. Je suis coincée ici, je ne respire pas ici, je ne vis pas ici, comment faire jusqu'au mois d'octobre ??? je ne m'en sens pas le courage. Je suis en train de perdre le peu de courage, le peu d'espoir, le peu de motivation qu'il me restait. Je ne sais plus rien et tout est noyé dans un épais brouillard. Je n'en vois pas la sortie...
Reprendre encore une année pour rélféchir ? Parfois j'y pense. Surtout pour me refaire une santé plus que pour une question de finance. Mais rélfexe : encore un an. Déjà 4 ... Cela m'abat plus qu'autre chose.
Les jours passent, les questions demeurent. Un seul regret, celui d'avoir planté mon retour à Grenoble. Je suis coincée ici, je ne respire pas ici, je ne vis pas ici, comment faire jusqu'au mois d'octobre ??? je ne m'en sens pas le courage. Je suis en train de perdre le peu de courage, le peu d'espoir, le peu de motivation qu'il me restait. Je ne sais plus rien et tout est noyé dans un épais brouillard. Je n'en vois pas la sortie...
Qui croyais-tu que j'étais ?
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
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La bataille est dure à avaler... quant à la guerre elle apparaît dénuée de sens... Je ne sais pas trop où je vais, je ne sais pas grand chose en ce moment, j'avoue que tout se casse la gueule jour après jour, le moral avec... tout ce qui m'apparaît clair c le triste con,stat d'être coincée ici pour un moment...
Qui croyais-tu que j'étais ?
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.
Tu n'as pas vu les plaies de mes mains, ni les horribles cicatrices sur ma peau, ni les larmes qui coulent sur mes joues chaque triste matin lorsque je découvre de nouveau les fils de soie et d'or qui tissent ma toile.