Regarder de l'avant
Posté : dim. 25 juil. 2004, 19h42
Je suis à la croisée de chemins et je me trouve au milieu, que faire, où aller, pourquoi y aller, pourquoi y renoncer ? Tant de questions qui me tourmentent et m'angoissent tant. Je dors en pensant à ça, je fais des crises d'angoisse tous les matins à cause de ça, j'ai du mal à sourire pour ça. Quels sont ces chemins ? Bref retour en arrière...
A mes 18 ans, je suis partie de chez moi du jour au lendemain et suis montée à Paris rejoindre l'amour de ma vie. J'ai fait des projets à Paris, j'ai cru à une vie nouvelle, un nouveau départ, j'ai cru que tout était resté derrière moi. J'ai eu tort. Un an après, je suis redescendue à Grenoble pour avoir un appart, reprendre mes études de lettres, mes parents me porposaient tout ça, ils me laissaient dans la merde si je restais à Paris, mon copain ne voulait pas s'installer avec moi, je suis descendue. Re-un nouveau départ, j'y ai cru, je me suis résignée et suis allée me rammasser comme jamais à Grenoble. Un an après, je remonte à Paris, mon couple fichait le camp, je ne supportaisd pas d'être loin de lui, je remonte donc. Jusqu'à aujourd'hui.
Et que fais-je ? Je redescends à Grenoble. Cette ville que j'ai tant maudit, cette ville qui aujourd'hui me semble la seule solution. Je rentre sur un échec, je me suis ratée à Paris, j'ai tout foiré et pourtant iul faut que je regarde de l'avant. Toujours en avant, le passé ne sert qu'à comprendre, à anticiper, pas à vivre. J'ai une perpétuelle boule d'angoisse, je ne cache pas ma peur de ce re-nouveau. parce que cette fois, j'ai du mal à y croire.
J'ai compris beaucoup de choses en deux de thérapie, j'ai appris beaucoup de choses en 4 ans de projets foirés, peut-être en ai-je appris trop... Peut-être que désormais croire en mes projets n'est pas possible, n'est plus possible. Parce que g trop cru, g trop essayé de tirer la tête vers le haut. Et on se lasse.
Maintenant, j'ai pris une décision, celle de rentrer à Grenoble. Je ne sais pas ce que cela va donner, je ne sais si j'attends, si je crois en des choses. Pour une fois, je vais laisser la vie se faire et je ne vais pas chercher à en faire quelque chose, ce sera toujours un échec de moins. Pour une fois... peut-être aurais-je ma chance...
A mes 18 ans, je suis partie de chez moi du jour au lendemain et suis montée à Paris rejoindre l'amour de ma vie. J'ai fait des projets à Paris, j'ai cru à une vie nouvelle, un nouveau départ, j'ai cru que tout était resté derrière moi. J'ai eu tort. Un an après, je suis redescendue à Grenoble pour avoir un appart, reprendre mes études de lettres, mes parents me porposaient tout ça, ils me laissaient dans la merde si je restais à Paris, mon copain ne voulait pas s'installer avec moi, je suis descendue. Re-un nouveau départ, j'y ai cru, je me suis résignée et suis allée me rammasser comme jamais à Grenoble. Un an après, je remonte à Paris, mon couple fichait le camp, je ne supportaisd pas d'être loin de lui, je remonte donc. Jusqu'à aujourd'hui.
Et que fais-je ? Je redescends à Grenoble. Cette ville que j'ai tant maudit, cette ville qui aujourd'hui me semble la seule solution. Je rentre sur un échec, je me suis ratée à Paris, j'ai tout foiré et pourtant iul faut que je regarde de l'avant. Toujours en avant, le passé ne sert qu'à comprendre, à anticiper, pas à vivre. J'ai une perpétuelle boule d'angoisse, je ne cache pas ma peur de ce re-nouveau. parce que cette fois, j'ai du mal à y croire.
J'ai compris beaucoup de choses en deux de thérapie, j'ai appris beaucoup de choses en 4 ans de projets foirés, peut-être en ai-je appris trop... Peut-être que désormais croire en mes projets n'est pas possible, n'est plus possible. Parce que g trop cru, g trop essayé de tirer la tête vers le haut. Et on se lasse.
Maintenant, j'ai pris une décision, celle de rentrer à Grenoble. Je ne sais pas ce que cela va donner, je ne sais si j'attends, si je crois en des choses. Pour une fois, je vais laisser la vie se faire et je ne vais pas chercher à en faire quelque chose, ce sera toujours un échec de moins. Pour une fois... peut-être aurais-je ma chance...