*ATT AM* Logique dramatique
Posté : mer. 01 sept. 2004, 14h47
J'en ai marre de ces mots dans ma tête.
Qui tournent encore et encore.
Désespéré d'être si tristement inspiré.
Mon imagination a eu mention Très Bien dans la spécialité Morbide.
Toujours des idées qui me tracassent.
Toujours des rêves qui me cassent en deux.
Avant, j'écrivais. Maintenant ça me fait peur. Parce que je m'enfonce dans cette façon de penser, ou même les mots ne sont plus entiers. Tout est divisé, scindé, chaque double sens laissant planer un doute, comme une option morbide sous-entendue.
Je n'aime pas ça.
Parce que JE PENSE comme ça.
Je me déteste.
Je pourrais pas être "positif" parfois ? Bien sur, paraître c'est si simple. Rire stupidement. Sourire sans artifices, mais juste accompagné. Parce que paraitre me parait de plus en plus facile, car je me sens de mieux en mieux quand je suis avec quelqu'un (même ma famille, c'est dire...).
De l'autre coté, seul c'est de pire en pire.
Toutes ces auto-suggestions qui me poussent dans les retranchements de ma douleur. Comme un besoin d'avoir mal.
Parce que sous mon air avenant, je me décompose petit à petit.
J'ai de plus en plus de mal à m'exprimer, et ça me bouffe. Je me suis enfermé dans cette logique d'expression, ou personne ne comprend plus rien, même moi je ne me comprends plus, si je me relis 5 minutes après. C'était mes pulsions. J'ai arrêté ça. Je croyais que ça me soulageait, parce qu'il y avait une part de soulagement au début. Mais je ne sais plus trop ou j'en suis avec ça, j'ai l'impression que ça ne m'en sort pas. De cette envie de ne plus être.
Juste la sensation d'être à fleur de peau.
D'effleurer ma peau.
J'aimerais crier. Et voir le désastre.
Je m'en veux... Et cette envie de me punir d'être comme ça... ne me quitte pas.
Je ne peux pas, je ne dois pas, mais j'en crève d'envie. Comme un fantasme.
Je ne sais plus écrire normalement. Je me sens incapable... De faire sortir ça. Et le silence va m'accueillir, une fois de plus. Désolé.
Qui tournent encore et encore.
Désespéré d'être si tristement inspiré.
Mon imagination a eu mention Très Bien dans la spécialité Morbide.
Toujours des idées qui me tracassent.
Toujours des rêves qui me cassent en deux.
Avant, j'écrivais. Maintenant ça me fait peur. Parce que je m'enfonce dans cette façon de penser, ou même les mots ne sont plus entiers. Tout est divisé, scindé, chaque double sens laissant planer un doute, comme une option morbide sous-entendue.
Je n'aime pas ça.
Parce que JE PENSE comme ça.
Je me déteste.
Je pourrais pas être "positif" parfois ? Bien sur, paraître c'est si simple. Rire stupidement. Sourire sans artifices, mais juste accompagné. Parce que paraitre me parait de plus en plus facile, car je me sens de mieux en mieux quand je suis avec quelqu'un (même ma famille, c'est dire...).
De l'autre coté, seul c'est de pire en pire.
Toutes ces auto-suggestions qui me poussent dans les retranchements de ma douleur. Comme un besoin d'avoir mal.
Parce que sous mon air avenant, je me décompose petit à petit.
J'ai de plus en plus de mal à m'exprimer, et ça me bouffe. Je me suis enfermé dans cette logique d'expression, ou personne ne comprend plus rien, même moi je ne me comprends plus, si je me relis 5 minutes après. C'était mes pulsions. J'ai arrêté ça. Je croyais que ça me soulageait, parce qu'il y avait une part de soulagement au début. Mais je ne sais plus trop ou j'en suis avec ça, j'ai l'impression que ça ne m'en sort pas. De cette envie de ne plus être.
Juste la sensation d'être à fleur de peau.
D'effleurer ma peau.
J'aimerais crier. Et voir le désastre.
Je m'en veux... Et cette envie de me punir d'être comme ça... ne me quitte pas.
Je ne peux pas, je ne dois pas, mais j'en crève d'envie. Comme un fantasme.
Je ne sais plus écrire normalement. Je me sens incapable... De faire sortir ça. Et le silence va m'accueillir, une fois de plus. Désolé.