Bonjour,
J'ai 20 ans, et je me mutile depuis5 ans. Après un arrèt total pendant ses vacances d'été, sans aucune pensées destructrices; j'ai rechuté à cause d'une mauvaise rentrée, forte angoisse et depression
Aujourd'hui, l'automutilation est redevenu une habitude.. tous les jours, tous les soirs. Dans toutes mes pensées.
Je dois avouer que je me fais peur moi même de retomber la dedans. Et surtout du fait que cela s'aggrave : je n'en ai jamais assez, des coupures plus profondes et un grand mal à m'arrèter pendant "l'acte". Je ne sais plus à qui me confier car mes parents ignorent cette rechute et je pense ennuyer mes amis avec cela. Je me suis complètement renfermée.
J'ai vu un psychiatre mais rien ne semble l'intéresser : "ça passera" dit il.
Aujourd'hui j'ai essayer de contacter la Maison des Ado pour parler avec une personne que j'ai déja rencontré, et aussi à l'infirmière du cmp. Mais personne n'a répondu.
J'ai peur de ne plus connaitre mes limites.. Et je ne sais plus à qui m'adresser.
Aggravation de mon automutilation.
Re: Aggravation de mon automutilation.
Bonjour didoune, et bienvenue ici. 
Je ne comprends pas bien pourquoi tu n'en arle pas à tes parents.
Pour tes amis, tu penses que ca les ennuies... C'est à eux d'en juger. Pourquoi ne pas leur poser la question ?
Le psychiatre que tu as vu ne convient pas... changes-en. Tu peux tenter de voir un autre psychiatre, mais sache qu'ils sont rarement therapeutes, c'est donc plutot pour un traitement (antidepresseur, ...). Sinon, tu peux chercher un therapeute, qu'il soit psychiatre, psychologue ou rien de tout ca.
Sinon, tu as tenu tout l'été, c'est deja beaucoup. Tu devrais etre fiere d'avoir réussi si longtemps. Là, les circonstances sont difficiles, mais au moins tu sais que si la situation s'arrange, tu as le potentiel pour t'en sortir.

Je ne comprends pas bien pourquoi tu n'en arle pas à tes parents.
Pour tes amis, tu penses que ca les ennuies... C'est à eux d'en juger. Pourquoi ne pas leur poser la question ?
Le psychiatre que tu as vu ne convient pas... changes-en. Tu peux tenter de voir un autre psychiatre, mais sache qu'ils sont rarement therapeutes, c'est donc plutot pour un traitement (antidepresseur, ...). Sinon, tu peux chercher un therapeute, qu'il soit psychiatre, psychologue ou rien de tout ca.
Sinon, tu as tenu tout l'été, c'est deja beaucoup. Tu devrais etre fiere d'avoir réussi si longtemps. Là, les circonstances sont difficiles, mais au moins tu sais que si la situation s'arrange, tu as le potentiel pour t'en sortir.
La douleur qui se tait n'en est que plus funeste.
RAC. Androm. III, 3.
RAC. Androm. III, 3.