médocs et AM
médocs et AM
Tous les jours, j'ai la dose de médocs à avaler. Je trimballe une vraie pharmacie pour les vacances. Et tout ça pour quoi ? puisque je continue les AM. Et puis les effets indésirables, c'est vaiment galère. Je ne vois plus vraiment d'issue, et les AM empirent, puisque la dernière fois, comme je l'ai déjà écrit, je suis passée au stade supérieure au niveau de l'AM. Est-ce qu'on peut vraiment s'en sortir ???
Re: médocs et AM
On peut s'en sortir. Nous sommes plusieurs à l'avoir fait ici.
Les médicaments... Déjà, qui te les prescrit ? Généraliste ou psychiatre ? Est-ce que tu en reparles regulierement, pour en changer au besoin, si vraiment ce n'est pas adapté, et comprendre leur effet ?
Je pense quand meme que les traitements ne font pas tout, mais que ca aide : ce serait peut etre pire sans. Ca limite probablement l'AM, ou les envies suicidaires, ou autre (je ne sais pas si tu as normalement d'autres symptômes).
Tu en prends depuis longtemps ? Tu suis une thérapie à coté, ou tu n'as rien d'autre comme aide ?
Les médicaments... Déjà, qui te les prescrit ? Généraliste ou psychiatre ? Est-ce que tu en reparles regulierement, pour en changer au besoin, si vraiment ce n'est pas adapté, et comprendre leur effet ?
Je pense quand meme que les traitements ne font pas tout, mais que ca aide : ce serait peut etre pire sans. Ca limite probablement l'AM, ou les envies suicidaires, ou autre (je ne sais pas si tu as normalement d'autres symptômes).
Tu en prends depuis longtemps ? Tu suis une thérapie à coté, ou tu n'as rien d'autre comme aide ?
La douleur qui se tait n'en est que plus funeste.
RAC. Androm. III, 3.
RAC. Androm. III, 3.
Re: médocs et AM
le psychiatre me prescrit les médicaments. Il a mis en place un nouveau traitement depuis janvier dernier. Je prends des médocs depuis 11 ans. Les traitements ont évolué au fil des ans, selon les états de dépression, les ts, les séjours en hôpital psy. Le problème est que je ne me considère pas comme "malade", aussi j'arrêtais régulièrement les traitements au bout de quelques mois. Pus me retrouvais dans un tel état d'épuisement suite à des boulimies d'activités, que j'étais arrêtée pendant plusieurs semaines ce qui a posé problème à mon travail. Ceci est ma dernière chance de garder mon travail. Si je suis de nouveau en arrêt, ce sera la rupture conventionnelle avec mon employeur. Aussi, je m'astreins à prendre le traitement, mais je doute de son utilité. Mes horaires de travail ont changé depuis ma reprise en mai et je suis passée de 2 rv hebdomadaires à 1 rv avec le psychothérapeute. Ca a été très déstabilisant pour moi. J'ai failli tout arrêter. Mais je sais que je ne recomencerai pas un travail avec un nouveau psy. Et j'en suis là. A attendre la fin des vacances pour recommencer les am, et faire sur l'autre sein le même sacage que sur le prmier..