Re: est-ce que j'existe pour de vrai ?
Posté : jeu. 26 juin 2014, 21h52
Hypothèse philosophique numéro 1 : nous n'existons que si les autres existent également, comme un ensemble dynamique (comme le fait de crier dans l'espace, ce n'est pas possible). Sans les autres il n'y a pas de soi.
J'avais déjà lu des choses sur la dépersonnalisation, mais je ne suis pas très convaincue. Quand a en discuter avec un médecin... Je n'en vois pas l'intérêt. Je n'ai aucune confiance en eux, à part prescrire des médocs... Ça peut en effet être dangereux, mais depuis toutes ces années, je n'ai pas vraiment eu de problème.
J'ai tenter de réfléchir au sujet avant de poster cette réponse : et bien non, je n'arrive pas à identifier de facteur déclenchant plausible. La piste est que ceci survient (mais pas à chaque fois heureusement) lors de phase de pseudo ennui intellectuel (au réveil, en voiture, devant la télé, lorsque j'étais en cours...). Par contre (et là c'est beaucoup plus régulier) ça arrive lorsque je commence à réfléchir à l'ordre de l'univers, de la vie, de notre apparition, de notre future disparition... Ça ne m'apporte aucun stress ni angoisse, plus une sorte de fascination, et ensuite je perds pied.
J'avais déjà lu des choses sur la dépersonnalisation, mais je ne suis pas très convaincue. Quand a en discuter avec un médecin... Je n'en vois pas l'intérêt. Je n'ai aucune confiance en eux, à part prescrire des médocs... Ça peut en effet être dangereux, mais depuis toutes ces années, je n'ai pas vraiment eu de problème.
J'ai tenter de réfléchir au sujet avant de poster cette réponse : et bien non, je n'arrive pas à identifier de facteur déclenchant plausible. La piste est que ceci survient (mais pas à chaque fois heureusement) lors de phase de pseudo ennui intellectuel (au réveil, en voiture, devant la télé, lorsque j'étais en cours...). Par contre (et là c'est beaucoup plus régulier) ça arrive lorsque je commence à réfléchir à l'ordre de l'univers, de la vie, de notre apparition, de notre future disparition... Ça ne m'apporte aucun stress ni angoisse, plus une sorte de fascination, et ensuite je perds pied.