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Une douleur qui soulage ..

Posté : lun. 07 oct. 2013, 21h42
par Sindouh1996
Ça fait moin mal que ce que je ressens à l'intérieur de moi, ça me soulage .. Et ne me fais plus penser à ma douleur, mon désespoire, ma solitude .. Je n'arrive pas à m'arrêter .

Re: Une douleur qui soulage ..

Posté : ven. 11 oct. 2013, 22h34
par Dark_Life
Moi aussi...
Et puis j'ai même pas la volonte d'arreter...



*ATT AM
En un soir (hier) je me suis fait environ x traits qui saignaient et sur les veines aussi :/

Re: Une douleur qui soulage ..

Posté : lun. 28 oct. 2013, 18h16
par Vi_la
Parfois ça ne sert à rien d'essayer d'arrêter sans avoir réglé le problème de base.
C'est comme essayer de mettre le couvercle d'une casserole sans avoir éteint le feu avant, à un moment ça va finir par déborder...
Donc essayer de réfléchir à pourquoi vous vous AM, qu'est ce qui déclenche les crises, comment vous vous sentez, etc...

Re: Une douleur qui soulage ..

Posté : dim. 17 nov. 2013, 18h42
par Secret
Je suis dans le même cas que toi, je me sens mieux après l'avoir fait, c'est comme ci ce qui me faisait mal s'estompait..... Il me devient de plus en plus nécessaire de le faire. J'en ressens le besoin, et je ne sans pas comment m'arrêter..

Re: Une douleur qui soulage ..

Posté : jeu. 28 nov. 2013, 22h08
par Morpheen
DSO desole la croix de suppression de message s'affiche pas

Re: Une douleur qui soulage ..

Posté : jeu. 28 nov. 2013, 22h57
par Vi_la
Morpheen a écrit : Sans aucune méchanceté ni troll :oops: mais Vi_la, tout comme dans le forum des éléments de solutions sont disponibles. Il est parfois pas si simple de résumer le process d'une AM a un unique problème, ou pire que la logique seule puisse contrer ce qu'il pourrait s'apparenter a une pulsion (je résume en englobant, excusez moi :oops: ).
Je ne suis pas sûre d'avoir tout compris, mais si j'ai dis quelque chose qu'il ne fallait pas je m'en excuse, ce n'était pas mon intention du tout. Je ne m'y connais vraiment pas beaucoup (sauf ma propre expérience).

Bien sûr l'AM de tout le monde ne peut être classifiée et généralisée. Chacun à ses raisons, ses émotions, ses pulsions. Je voulais juste pousser un peu plus loin que "je m'AM" et "je n'arrives pas à arrêter".

Je suis une personne très logique, mais je suis bien placée pour dire que la logique n'est pas une arme à toute épreuve, je suis absolument d'accord avec toi. Je pense aussi qu'essayer de comprendre le comment et le pourquoi de son AM peut nous aider à mieux y faire face. (Je peux me tromper bien sûr)
C'est pourquoi je trouve intéressant d'y réfléchir.

Désolée encore si j'ai fais quelque chose qu'il ne fallait pas :oops:

Re: Une douleur qui soulage ..

Posté : ven. 29 nov. 2013, 09h56
par Ysilne
Vi_la a écrit :Parfois ça ne sert à rien d'essayer d'arrêter sans avoir réglé le problème de base.
C'est comme essayer de mettre le couvercle d'une casserole sans avoir éteint le feu avant, à un moment ça va finir par déborder...
Donc essayer de réfléchir à pourquoi vous vous AM, qu'est ce qui déclenche les crises, comment vous vous sentez, etc...
Morpheen a écrit :Sans aucune méchanceté ni troll :oops: mais Vi_la, tout comme dans le forum des éléments de solutions sont disponibles. Il est parfois pas si simple de résumer le process d'une AM a un unique problème, ou pire que la logique seule puisse contrer ce qu'il pourrait s'apparenter a une pulsion (je résume en englobant, excusez moi :oops: ).
A mon avis, vous avez toutes les deux raison. :-)
Ca ne sert à rien de lutter uniquement contre l'AM si le "problème de base" est un trouble anxieux ou une grosse dépression, par exemple, qui n'est pas pris en compte.
Parfois, pour vraiment s'en sortir, il faut d'abord reconnaitre une cause spécifique (abus sexuel, violence parentale, etc).
Mais en général, il y a tout un ensemble de cause qui a permit à l'automutilation de s'installer. Connaitre ces causes, quand c'est possible, ne résout pas le problème, au mieux ça aide à le combattre (il y a un sujet là dessus il me semble).

Si la logique n'empeche pas une pulsion, qui est par définition tout sauf logique, il est par contre bon de pouvoir identifier dans quelles situation cette pulsion arrive. Ce n'est pas au moment de la crise quand rien ne va plus qu'il faut chercher à se raisonner. C'est après, ou avant, qu'il faut identifier si ça arrive plutôt quand on est seul ou entouré, quand on est triste ou en colère, etc. Pour éviter ces situations, savoir se mettre en sécurité, ou planifier une solution différente que l'automutilation pour gérer.