Se dissocier de son trouble/mal être
Posté : ven. 03 avr. 2015, 16h42
Questionnement et réflexion issue de la relecture sur la peur de changer et la place prise par le trouble dans notre identité.
Je prends ici "trouble" au sens très large, sans nécessité de diagnostic psychiatrique.
L'idée étant de comprendre comment accepter de laisser derrière soi son trouble/son malêtre, comment vaincre la peur de changer, et, par extension, comment arriver à construire son identité sans s'amalgamer à ce trouble. Le problème me semble d'autant plus complexe que le trouble est/a été présent depuis/pendant des années et/ou durant l'adolescence (période assez périlleuse de la construction de son identité).
- Comment se différencier de son trouble ?
- Comment vaincre la peur du changement ?
- Comment construit on son identité avec/malgré son trouble ?
- Comment votre trouble affecte-t-il votre identité/identification ?
- Pour les troubles "curables"/temporaires : comment évolue-t-on sans sous trouble/se retrouve-t-on après "guérison" ?
- Pour les troubles "à vie" : comment fait on la part entre le trouble et ses spécificité individuelles ? Comment l'un influence l'autre ?
Voilà, je laisse libre cours à vos réflexions, témoignages, remarques sur le sujet.
Je prends ici "trouble" au sens très large, sans nécessité de diagnostic psychiatrique.
L'idée étant de comprendre comment accepter de laisser derrière soi son trouble/son malêtre, comment vaincre la peur de changer, et, par extension, comment arriver à construire son identité sans s'amalgamer à ce trouble. Le problème me semble d'autant plus complexe que le trouble est/a été présent depuis/pendant des années et/ou durant l'adolescence (période assez périlleuse de la construction de son identité).
- Comment se différencier de son trouble ?
- Comment vaincre la peur du changement ?
- Comment construit on son identité avec/malgré son trouble ?
- Comment votre trouble affecte-t-il votre identité/identification ?
- Pour les troubles "curables"/temporaires : comment évolue-t-on sans sous trouble/se retrouve-t-on après "guérison" ?
- Pour les troubles "à vie" : comment fait on la part entre le trouble et ses spécificité individuelles ? Comment l'un influence l'autre ?
Voilà, je laisse libre cours à vos réflexions, témoignages, remarques sur le sujet.