Je n'arrive plus à crier
Posté : lun. 19 févr. 2018, 00h20
J'ai encore recommencé.
Encore... Ce mot me fais mal. Il montre à quel point ma vie est constituer d'échecs. Ce n'est pas la première fois que je tente d'arrêter. Mais c'est un appelle... Un appelle qui me pousse encore et encore à prendre ce bout de métal. Cet éclat d'acier qui danse sur ma peau.
Je m'AM depuis peut de temps mais pourtant j'ai l'impression d'avoir connus cette soufrance toute ma vie. Elle me parrait si familliaire... une sorte de vielle amie.
Et même dans cette communauté: celle qui s'AM, je ne me sens pas à ma place. Contrairement aux personnes qui font ça parce qu'elles vivent un trop-plein d'émotions, moi je le fais parce que je ne ressens rien. Je ne pleure pas quand j'apprends le décès de quelqu'un que je connais, je ne cris pas quand je devrais être en colère, je ne ris pas à une blague. Ou en tout cas, ce n'est jamais le vrais moi qui pleure, qui cris ou qui rigole. Je fais semblent. Je mets un masque. Je suis un comédien dans ma propre vie. Les gens pensent me connaitre, mais ils n'ont jamais vu que la face superficiel de ma personnalité.
Pour combler ce manque de sensation psycologique, je moblige à ressentir des sensations physique.
Dans mon corps s'est logé un vide qui ne cesse de grandir. Qui m'empèche de grandir. Qui m'empèche d'avancer. Ça me tiraille de l'interieur. Ça me fait mal. Alors je me fait mal ailleurs pour moins soufrir. Pendant un instant. Quelques secondes. Juste le temps de que cette danseuse fasse son travail.
Il y a 2 semaines mes parents on découvert que je m'AM. Il m'ont emmener voir une psycologue. Et encore une fois j'ai mal. J'ai mal parce que je ne lui dis pas la vérité. Je mens sans pouvoir m'arrêter. J'ai mal parce que je mens tout le temps avec tout le monde.
Sur ma peau se ballade une danseuse,
Habilé d'une robe aux éclats d'argent,
Elle se ballade le long de mon bras,
Où à l'encre de mes veines,
Elle dessine des formes,
Ou écrit des mots.
Mais elle préfère avancer en ligne droite,
Pour marquer son passage,
Le long de mon bras,
Pour me rappeller que dans ce carnage,
J'existe toujours,
Que je vis.
Encore... Ce mot me fais mal. Il montre à quel point ma vie est constituer d'échecs. Ce n'est pas la première fois que je tente d'arrêter. Mais c'est un appelle... Un appelle qui me pousse encore et encore à prendre ce bout de métal. Cet éclat d'acier qui danse sur ma peau.
Je m'AM depuis peut de temps mais pourtant j'ai l'impression d'avoir connus cette soufrance toute ma vie. Elle me parrait si familliaire... une sorte de vielle amie.
Et même dans cette communauté: celle qui s'AM, je ne me sens pas à ma place. Contrairement aux personnes qui font ça parce qu'elles vivent un trop-plein d'émotions, moi je le fais parce que je ne ressens rien. Je ne pleure pas quand j'apprends le décès de quelqu'un que je connais, je ne cris pas quand je devrais être en colère, je ne ris pas à une blague. Ou en tout cas, ce n'est jamais le vrais moi qui pleure, qui cris ou qui rigole. Je fais semblent. Je mets un masque. Je suis un comédien dans ma propre vie. Les gens pensent me connaitre, mais ils n'ont jamais vu que la face superficiel de ma personnalité.
Pour combler ce manque de sensation psycologique, je moblige à ressentir des sensations physique.
Dans mon corps s'est logé un vide qui ne cesse de grandir. Qui m'empèche de grandir. Qui m'empèche d'avancer. Ça me tiraille de l'interieur. Ça me fait mal. Alors je me fait mal ailleurs pour moins soufrir. Pendant un instant. Quelques secondes. Juste le temps de que cette danseuse fasse son travail.
Il y a 2 semaines mes parents on découvert que je m'AM. Il m'ont emmener voir une psycologue. Et encore une fois j'ai mal. J'ai mal parce que je ne lui dis pas la vérité. Je mens sans pouvoir m'arrêter. J'ai mal parce que je mens tout le temps avec tout le monde.
Sur ma peau se ballade une danseuse,
Habilé d'une robe aux éclats d'argent,
Elle se ballade le long de mon bras,
Où à l'encre de mes veines,
Elle dessine des formes,
Ou écrit des mots.
Mais elle préfère avancer en ligne droite,
Pour marquer son passage,
Le long de mon bras,
Pour me rappeller que dans ce carnage,
J'existe toujours,
Que je vis.