Avoir mon bac ( et avec une mention tant qu'à faire

), pour ensuite aller me soigner pendant l'été.
Ca m'serre le ventre quand j'y pense tellement je n'en peux plus !
Et voilà, je pleure.
J'ai jamais autant attendu quelque chose. Foutue bac. L'avoir, et être enfin libre pour se soigner.
Je suis totalement seule jusqu'à la fin juin. Je peux rien dire à personne de peur que l'on me réhospitalise et que du coup je prenne du retard et loupe mon bac. Alors je me tais et je n'en peux plus!
Admettons que je sois guérie fin aout, je pense que j'aurais des projets.
Si fin aout je suis toujours dans le même état :
a) je n'ai pas été hospitalisée pendant l'été, et je me fais hospitaliser à ce moment là, si possible à l'année.
b) j'ai été hospitalisé :
- ça commence à aller mieux : je demande a rester à l'année, ou je me sens prete a sortir.
- c'est toujours pareil : je sors, je prends mon courage à deux mains, et j'en finis avec cette vie de merde.
*Sinon, j'ai juste des projets d'étude.
-> Ma licence MIASS.
-> un master d'informatique/de psycho/d'eco-gestion/de science co. ( sais pas encore).
[-> Si j'ai peur d'la vie : intégrer science po, ou passer une licence d'eco, ou de socio.]
-> entrer à L'IUFM. OU entrer dans la vie active.
-> Si j'entre à l'IUFM, passer ou CAPES d'SES ou CAPE.
* Avoir des enfants. ( le gars, c'est accessoire. Aucune envie. Ah oui ! bonne idée : insémination artificielle. Youpi-youpi. Comme ca, je suis sûr que mes gosses iront super-hyper-mal, et je m'engage à ne pas faire les même erreures qu'ont fait mes parents, mais a en faire d'autres.)
* Heu ils font quoi les gens après?
* Ah oui ! Après, je me ferais chi*. Comme tous les bons adultes. Je sortirai plus. Je ferai la bouffe, et je regarderai TF1.
Entre temps, si j'ai pas perdu mes rêves de djeuns, j'ecrirai un livre ( sujet à terminer ^^). Selon les études que j'aurais fait : se sera ou un rien du tout, ou un livre de socio. (miam, un livre sur le chômage : passiônant!)
* bah après.... Mmmmhhhhh.... Heu. Alors là?
J'sais plus c'qu'ils font les gens....
Bref, la suite quand j'aurais plus amplement réflechis.
ah oui !
* La crise de la quarantaine.
alors là, j'vois plus.