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ce message est très utile 
)Question AM
Je pense, comme la plupart, qu'on ne peut pas juger le degré de gravité pour un autre ; que l'importance de la blessure ne le dit pas, ni le fait de se soigner ou de le montrer.
Il me semble dangereux de vouloir classifier. Peut-être que certains tirent une certaine fierté d'AM grave, non soignée, comme si c'était un acte héroïque ; mais là on s'éloigne de l'AM.
L'AM s'est une décharge, un acte difficilement contrôlable, qui "soulage" une douleur psychique très violente. Elle n'est pas forcément proportionnelle. Une douleur terrible, à en vouloir mourir, n'entraîne pas toujours une AM grave.
Parfois se mêle autre chose à la douleur : de la colère contre soi, contre l'autre, une demande d'aide. C'est important de sentir ça, parce que on se rend compte alors qu'avec l'AM on obtient rarement d'être compris...
Et puis on peut avoir honte, on peut vouloir protéger sa famille, ne pas lui faire de la peine, on peut craindre les réactions négatives, parfois violentes (qu'on a parfois déjà connues !), on peut avoir peur et on a souvent raison d'avoir peur... enfin dire, montrer, se soigner, c'est pour chacun très personnel et très complexe.
Il me semble dangereux de vouloir classifier. Peut-être que certains tirent une certaine fierté d'AM grave, non soignée, comme si c'était un acte héroïque ; mais là on s'éloigne de l'AM.
L'AM s'est une décharge, un acte difficilement contrôlable, qui "soulage" une douleur psychique très violente. Elle n'est pas forcément proportionnelle. Une douleur terrible, à en vouloir mourir, n'entraîne pas toujours une AM grave.
Parfois se mêle autre chose à la douleur : de la colère contre soi, contre l'autre, une demande d'aide. C'est important de sentir ça, parce que on se rend compte alors qu'avec l'AM on obtient rarement d'être compris...
Et puis on peut avoir honte, on peut vouloir protéger sa famille, ne pas lui faire de la peine, on peut craindre les réactions négatives, parfois violentes (qu'on a parfois déjà connues !), on peut avoir peur et on a souvent raison d'avoir peur... enfin dire, montrer, se soigner, c'est pour chacun très personnel et très complexe.
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babsye
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Alors je sais pas si je suis HS? mais en effet, dans le temps, il y a eu une évolution au niveau de mes blessures, mais pas par rapport à la cause ( cf. mon autre message) mais plus par rapport à l' "outil" ( ne précisons pas, cela m'aurait évité une certaines gradation si je ne l'avais pas lu un jour).Par contre chez moi la violence des coups est directement proportionnelle à la haine que j'ai pour moi, plus j'ai envie de me punir plus je me punis, le lien est direct.
Je pense que pour certaines personnes, (dans le cas particulier donc, pas en comparatif), on peut juger une certaine évolution là dessus
Donc toujrous rien à voir avec la cause, mais si vous voulez étudier toutes les pistes, en voilà une autre ^^.
Quant à la classification, je la verrais plus comme le suggerait Ysilne la page d'avant selon le motif. Car mon AM n'a rien à voir avec celle de Vincent par exemple, et alors que nous sommes sensés etre représenté par le même mot, j'ai parfois des difficultées au niveau de l'empathie à comprendre son am.
Voili voilou.
"Je voudrais tout quitter, je suis la cause de tout et je ne sais faire que de la peine aux autres; c'est moi-même et moi seul qui ai attiré cette misère sur moi et sur les autres."
[...] mais que veux-tu?
[...] mais que veux-tu?
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Vincent
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babsye
- Ancien modérateur
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Je ne comprends pas l'etat dans lequel tu es avant ton am. Pour comprendre l'autre en général, j'utilise souvent l'empathie. Ca me permet de comprendre les réaction de mes parents par exemple, avant de les blâmer. Je me concentre a fond pour ressentir exactement ce que l'autre ressent.
La raison principale qui fait que j'ai torp du mal avec toi (^^), c'est l'anticipation. Le faitque tu sois en mesure de prévoir, de te préparer, de préparer les conséquences, aussi. ( choix de l'outil, de l'endroit [avec une très grande précision], trouver un hopital acceptant de te greffer.. etc..) .
Mon AM est pulsionnel, et elle n'est vraiment pas reflechie. Si j'etais dans un etat me permettant de reflechir, je ne me blesserai pas.
C'est d'ailleur pour ça que j'utilise parfois la méthode de substitution " ne fais rien, lara, mais si dans 10 minutes tu veux toujours, tu auras le droit d'y aller", je reflechis, et alors, je n'en ai plus "envie", je me rends compte que c'est absurde, que l'am ne resoudra rien.
Si une classification etait à faire, je la ferais donc selon l'effet recherché ( quand on prevoit, ce n'est pas pour soulager une colere soudaine, par exemple), et donc en fonction de l'anticipation, forcément.
Je ne sais pas si tu comprends. Si ce n'est pas le cas, reflechis de façon contraire à moi, et regarde dans quel etat d'esprit la pluspart d'entre nous nous blessons.
Bonne soirée !
La raison principale qui fait que j'ai torp du mal avec toi (^^), c'est l'anticipation. Le faitque tu sois en mesure de prévoir, de te préparer, de préparer les conséquences, aussi. ( choix de l'outil, de l'endroit [avec une très grande précision], trouver un hopital acceptant de te greffer.. etc..) .
Mon AM est pulsionnel, et elle n'est vraiment pas reflechie. Si j'etais dans un etat me permettant de reflechir, je ne me blesserai pas.
C'est d'ailleur pour ça que j'utilise parfois la méthode de substitution " ne fais rien, lara, mais si dans 10 minutes tu veux toujours, tu auras le droit d'y aller", je reflechis, et alors, je n'en ai plus "envie", je me rends compte que c'est absurde, que l'am ne resoudra rien.
Si une classification etait à faire, je la ferais donc selon l'effet recherché ( quand on prevoit, ce n'est pas pour soulager une colere soudaine, par exemple), et donc en fonction de l'anticipation, forcément.
Je ne sais pas si tu comprends. Si ce n'est pas le cas, reflechis de façon contraire à moi, et regarde dans quel etat d'esprit la pluspart d'entre nous nous blessons.
Bonne soirée !
"Je voudrais tout quitter, je suis la cause de tout et je ne sais faire que de la peine aux autres; c'est moi-même et moi seul qui ai attiré cette misère sur moi et sur les autres."
[...] mais que veux-tu?
[...] mais que veux-tu?
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Vincent
Je me suis couper pour plusieur raison, au début, sur le bras et et je crois que cétais pour dire moi aussi je vais mal et je le montre, le problème c'est que j'ai toujour eu honte de mon bras. C'est un peu un appel au secour, une façon de dire je vais pas bien, aidez moi. Ce n'est pas our dire aimer moi, ou faire du chantage affectif, juste dire a l'aide, mais de toute façon je n'ajamais montrer mon bras.
Puis j'ai cacher vraiment bien comme il faut et la c'étais pour moi, rien que pour moi. Je me faisais mal pour moi et ca ne regadais que moi, ca ne faisais du bien que pour moi.
Une fois j'ai finis au urgence parce que oui j'avais trop appuyer et je n'avais pas le choix (en fait j'ai paniqué, pour rien) et j'ai du avertir tout le monde, toute ma famille et ca je m'en serai bien passer. Si il n'y avais pas eu cette fois la je croit que il n'en aurais rien su de toute mes betises et ca aurais étais vraiment mieux, vraiment.
En revanche mes blessure ne sont pas porportionelle a ma douleur du moment, car plus le temp passé, plus j'avais besoin de plus, même si au final j'allais de mieux en mieux. Les coupure que je faisais a la fin devenais dangeureuse je crois et aurai mérité plus de soin que je ne leur en donnais (ca m'a vraiment fais bizare quand le médecin a utiliser les mot point de suture).
En revanche il est vrai que la pire que j'ai fais étais a un moment ou je n'étais pas bien du tout, donc je ne peut pas nier que il y a quelque part un lien entre les deux chose.
Il est vrai que généralement quand on parle d'am on entend scarifaiction ce qui est faut, mais c'est comme lorsque on parle d'am ou de tca, on entend pour le file uniquement ce qui est faux, c'est une généralisaiton c'est tout. Mais au fond je croit que on sais que ca a un sens plus large, non?
Puis j'ai cacher vraiment bien comme il faut et la c'étais pour moi, rien que pour moi. Je me faisais mal pour moi et ca ne regadais que moi, ca ne faisais du bien que pour moi.
Une fois j'ai finis au urgence parce que oui j'avais trop appuyer et je n'avais pas le choix (en fait j'ai paniqué, pour rien) et j'ai du avertir tout le monde, toute ma famille et ca je m'en serai bien passer. Si il n'y avais pas eu cette fois la je croit que il n'en aurais rien su de toute mes betises et ca aurais étais vraiment mieux, vraiment.
En revanche mes blessure ne sont pas porportionelle a ma douleur du moment, car plus le temp passé, plus j'avais besoin de plus, même si au final j'allais de mieux en mieux. Les coupure que je faisais a la fin devenais dangeureuse je crois et aurai mérité plus de soin que je ne leur en donnais (ca m'a vraiment fais bizare quand le médecin a utiliser les mot point de suture).
En revanche il est vrai que la pire que j'ai fais étais a un moment ou je n'étais pas bien du tout, donc je ne peut pas nier que il y a quelque part un lien entre les deux chose.
Il est vrai que généralement quand on parle d'am on entend scarifaiction ce qui est faut, mais c'est comme lorsque on parle d'am ou de tca, on entend pour le file uniquement ce qui est faux, c'est une généralisaiton c'est tout. Mais au fond je croit que on sais que ca a un sens plus large, non?
Un ange est mort
Babsye a écrit :
il y a eu une évolution au niveau de mes blessures, mais pas par rapport à la cause ( cf. mon autre message) mais plus par rapport à l' "outil" ( ne précisons pas, cela m'aurait évité une certaines gradation si je ne l'avais pas lu un jour).
Pareil ...
Voila apres cette précision dont tout le monde se ravit je reviens (un peu) au sujet du départ :
ATT
***
**
*
Ce que je voulais dire par la gravité de mes marques par rapport à la "gravité" de ma souffrance parce que et là ATT ATT ATT j'ai tendance à avoir besoin de plus de mal si on peut dire ca comme ca que quand la souffrance est un peu moins forte...
Besoin de "plus" pour "plus" me soulager ...
[/quote]
il y a eu une évolution au niveau de mes blessures, mais pas par rapport à la cause ( cf. mon autre message) mais plus par rapport à l' "outil" ( ne précisons pas, cela m'aurait évité une certaines gradation si je ne l'avais pas lu un jour).
Pareil ...
Voila apres cette précision dont tout le monde se ravit je reviens (un peu) au sujet du départ :
ATT
***
**
*
Ce que je voulais dire par la gravité de mes marques par rapport à la "gravité" de ma souffrance parce que et là ATT ATT ATT j'ai tendance à avoir besoin de plus de mal si on peut dire ca comme ca que quand la souffrance est un peu moins forte...
Besoin de "plus" pour "plus" me soulager ...
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