Tabac, alcool , drogue (?)

[Selenite]

Me voilà de retour avec mes questions forts ininteressantes ( avouez , ça vous avait manqué hein ? ) !!!


Aujourd'hui, je me demandais si certains d'entre vous fument , se droguent , ou boivent , et si c'est régulier?

Et puis j'aimerais savoir ce que vous pensez de ces trois choses , si vous considerez ça comme un moyen détourné de se détruire , si ça vous aide à oublier , si c'est une chose banale pour vous , si une conso régulière peut etre liée à un mal-être au meme titre que l'am , à quel moment pensez-vous qu'il faut voir ça comme un usage problematique, enfin bref, votre avis quoi !!


En fait, si je me pose cette question, c'est parce que je me suis rendue compte qu'en ce moment je fume assez souvent , pour ne plus penser ... Mes trois derniers rdv avec la psy, je suis arrivée défoncée , ça me calmait ...
C'est assez étrange de se sentir vraiment bien, de rire pour de vrai ...
Bizarrement, meme si j'ai de plus en plus l'habitude de fumer , en ce moment je suis tellement nerveuse que j'en supporte moins bien les effets, je fais des sortes de crises de nerf. Après , généralement, je me sens plutot mal , maux de ventre, fatigue intense, maux de tete ... Je n'aime pas vraiment l'après , mais sur le coup je me sens si bien, je ne pense plus à tout ce qui fait mal .
Je bois de plus en plus également, presque dès que je vois mes amis .

Comme eux aussi boivent et fument autant que moi, ils ne s'aperçoivent pas que j'en profite pour ne plus penser, et on se contente de passer d'agréables moments ensemble, à rire pour rien .

Pour ce qui est de la clope , je trouve ça assez banal de fumer, mais je me suis rendue compte que j'ai commencé à fumer très régulierement depuis que j'ai été balancé la seconde fois par les infirmieres. Avant, je me contentais de quelques tafs sur les clopes des autres.


Et puis bon, depuis que j'ai eu l'occasion de parler de drogue avec Pandora , je me pose quelques questions là-dessus , je me suis rendue compte que ça pouvait réellement etre dangereux mais sans en prendre conscience personnellement .

[babsye]

Comme eux aussi boivent et fument autant que moi, ils ne s'aperçoivent pas que j'en profite pour ne plus penser, et on se contente de passer d'agréables moments ensemble, à rire pour rien .

Je sais pas "comment" ils boivent, mais pour eux aussi c'est problématique.
Je pense qu'un jeune qui se prend des cuites comme ça, en milieu d'aprem, voire même tout simplement régulierement, c'est un jeune qui fuit.
Peut-etre pas les mêmes choses que toi, mais ce n'est pas un acte banal, ce n'est normal pour personne.
Ils en profitent donc aussi pour ne plus penser, etc. Vous recherchez probablement la même chose. Le fait de boire, en lui même n'a absolument rien d'amusant. Le but est ailleur.


Pour ma part, je ne bois pas, je ne fume pas, et je me drogue pas.

Je ne fume pas tout simplement parcequ'en 1995 mon grand pere est mort d'un cancer, et qu'il fumait. Quand il est mort, je lui ai promis de ne jamais fumer. Je tiens toujours mes promesses.

La boisson, je me suis saoulé une fois. J'devais avoir 13ans. J'metais disputé avec ma famille, et je savais pas comment me faire du mal. (j'etais déjà bien dans mes problemes, je touchais " un peu à tout" ). J'ai vidé une bouteille, et pour me mettre en danger, je suis aller vers du vélo dans la rue. J'ai fini par rentrer, et j'ai plus jamais vraiment bu. ( juste gouté deux trois trucs que j'ai jamais aimé. J'prefere le coca light ^^.)

La drogue, disons que je pense qu'on peut dire que je me suis droguée. Pendant mon année de seconde. J'en parle très rarement, parceque je sais que le fait d'en parler est dangereux pour ceux qui m'ecoutent ( une amie très très équilibrée s'est mise à "faire comme moi" à l'epoque), et puis sans doute parceque je me rends compte comme c'etait dangereux. Un jour j'ai faillit y rester.
J'en ai parlé la derniere fois avec ma psy.
Enfaite, recement, j'ai participé à une étude d'une Dr. sur l'AM, donc ji allée a un entretiens répondre à des questions, et j'ai rempli un questionnaire, dans lequel j'ai menti quant à la question de la drogue. J'ai été un peu génée comme c'etait pour faire des statistiques, etc. Alors j'ai "avoué" à ma psy. En voyant sa tête j'ai encore un peu plus mesuré.
Mais c'est bel et bien fini ( et depuis longtemps maintenant ^^.)


Ca fait un peu genre j'me contredis, mais non non, au final, je n'ai aucune "pratique djeuns à risque ".

Voili voilou !

[Anonyme86]

Personelement, l'alcool lorsque je suis en soiré, le shit quand j'en est l'ocasion et le tabac de temp en temp.
Pour moi c'est un moyen de se détruire, plus ou moin conscient.
Pour moi une bonne cuite en soiré, c'est en soit pas méchant. Mais bon, si il t'arrive de boire seule a en être ivre alors la il y a un problème. Je l'ai fais une fois, et je savais pleinement ce que je faisais. C'étais un bon moyen de ne plus penser (a l'am, j'avais tenter ca car j'avias une crise et pas de matos car c'étais en vacance).
Mais bon une fois j'ai completement perdu le controle de moi même et j'ai failli shooter dans un bébé pour être sur que c'étais pas une halucination. Heusement que je ne l'ai pas fais car c'étais bien un vrai bébé.
Pour moi ca devietn problématique quand on se défonce seul. Faire la fete entre amis, dans ces cas la consomation de substance tel que l'alcool ou le shit sont rentré dans les moeurs et en rien significative.

[Azerty]

Comme eux aussi boivent et fument autant que moi, ils ne s'aperçoivent pas que j'en profite pour ne plus penser, et on se contente de passer d'agréables moments ensemble, à rire pour rien .

Je sais pas "comment" ils boivent, mais pour eux aussi c'est problématique.
Je pense qu'un jeune qui se prend des cuites comme ça, en milieu d'aprem, voire même tout simplement régulierement, c'est un jeune qui fuit.
Peut-etre pas les mêmes choses que toi, mais ce n'est pas un acte banal, ce n'est normal pour personne.
Ils en profitent donc aussi pour ne plus penser, etc. Vous recherchez probablement la même chose. Le fait de boire, en lui même n'a absolument rien d'amusant. Le but est ailleur.

Ah ça, je dis ... Totalement d'accord J'ai rien de plus à rajouter.

Quand tu dis " C'est assez étrange de se sentir vraiment bien, de rire pour de vrai ... "
Tu trouves vraiment que tu vas "vraiment" bien et que tu ris " pour de vrai" quand tu sais que ce qui provoque ce "bien-être" et ces "rires vrais" sont provoqués par des substances ?
Je comprends que tu te sentes mieux, mais réellement bien ... Ca, je doute. Parce qu'après tout c'est éphemère et juste après tu te sens mal ...

Maintenant, en ce qui me concerne, j'ai déjà tester des conneries pas légales, et vraiment, je ne suis pas prête à recommencer parce que ça peut très vite tourner au drame, et pas forcément comme on le pense ...
Même l'alcool peut être dangereux ...
Ca fait peut etre trop dramatique de dire ça , mais même en soirée, même quand tu te défonces ou que tu bois avec des "amis" et que quand même ca devient régulier (ou pas après tout) , meme quand tu es entouré, c'est dangereux et ce n'est pas anodin.
Je sais que moi, je faisais ça pour pousser mes limites, voir jusqu'où je pouvais aller. Et à force de jouer avec le feu, on se brûle ...

Maintenant, je ne sais pas si c'est " au même titre que l'am " que de se défoncer et de boire en excès, mais ça prouve quand même un mal être qui faut essayer de découvrir.
Comme le dit mon psy, les moyens qu'on utilise pour se détruire, (am, alcool, drogue) c'est le côté "spectaculaire" , mais ce qu'il faut avant tout songer à soigner, ce sont les coulisses, ce qu'il appelle les causes du mal-être plus que les conséquenceS.

[Anonyme86]

A oui tokidoki je te rejint tout a fais sur le plaisir des papille. Un bon vin, ou un bon apéro, mais dose raisonable, voir une bonne liqueur, rien de meilleur. Pour moi un bon repas est un repas qui se termine par un bon camembert, n bon pain et un bon rouge, me voila au paradis.

[fox666]

Je sais que moi, je faisais ça pour pousser mes limites, voir jusqu'où je pouvais aller. Et à force de jouer avec le feu, on se brûle ...

+1
Je ne bois ni ne fume (shit) beaucoup ni régulierement mais en général, quand je le fais, c'est toujours jusqu'à atteindre la limite (avec des amis)ou pour tout oublier (seule). Je me vois mal tomber dans la drogue sans en faire une overdose en moins de 2. Pour moi, je dois toujours aller le plus loin possible et meme, éventuellement, me détruire completement. En commencant à ressentir les effets, je perds tous controle et je deviens extrement impulsive. C'est extrement dangereux, je sais...[/quote]

[babsye]

A oui tokidoki je te rejint tout a fais sur le plaisir des papille. Un bon vin, ou un bon apéro, mais dose raisonable, voir une bonne liqueur, rien de meilleur. Pour moi un bon repas est un repas qui se termine par un bon camembert, n bon pain et un bon rouge, me voila au paradis.

Papa ?

[Anonyme86]

lol
Ben j'aime particulièrement le gout de l'alcool. Un repas de famille sans vin n'est pas un repas de famile pour moi. Ca m'est réguliérement arriver en vacance de m'isoler avec un bon verre d'alcool pour me poser tranquilement, déguster gentiment ce brevage. Pour moi c'est un réel plaisir. Mais cela reste raisonable ces séance de dégustation, un verre et pas plus.

[Wou]

Je ne fume pas. Je ne me drogue pas avec des choses illégales. Et je bois très peu ( surtout pour le gout et cette légère légèreté agréable au bout des doigts (encore faut il que je l'atteigne) ).
Cette même sensation est retrouvable en fumant un narguilé.

En général, je fais 'ça' ( boire et narguilé ) en bonne compagnie. Histoire d'être réunis tous ensemble autours de quelque chose. Discuter, c'est vrai que ça délie un peu les langues. Certains en ont besoin. Moi pas vraiment, c'est juste pour accompagner au départ. Puis maintenant le gout me plait. Mais je n'ai jamais fait d'excès.

Souvent quand ça va pas, j'me dis "tiens, je me saoulerai bien là maintenant pour oublier un instant". Quand je me dis ça, je me fous une bonne claque histoire de me rappeler que tout ça n'est que sublimation de la réalité.

Je suis aux drogues légales moi. Le sucre et le haut débit. Des fois je me demande ce qui est mieux. Parce que l'illégal est traité en centre... Pas le reste

Bref, ça s'était pour moi.


Sinon, je considère que la consomation en général devient problématique quand c'est régulier ( je parle de drogue et alcool... parce que le tabac bon ben voilà quoi ). A partir du moment où on a besoin de son verre de vin avec le repas, ou de se murger avec les potes à chaques soirées, c'est que ça ne va pas.
Mais aussi la consomation personnelle, seul, chez soi. C'est assez malsain.

[KaJaGooGoo]

Personnellement, je fume depuis la fin de la seconde. A la base, je ne me suis jamais caché que j'avais envie de commencer... J'ai toujours aimé l'odeur (mais je ne rejetterai pas la faute sur ma mère, qui a galéré pour arrêter pendant que je commençais).
J'ai toujours fumé seul... Jusqu'à cette année, ou j'ai réussi à me retenir de fuir pour fumer mes clopes tranquille. Pour moi ce n'est pas particulièrement lié à un mal-être, c'est plutôt "apaisant", et j'ai l'impression d'avoir l'esprit un peu plus vif après (mais je me trompe probablement).
Fumer autre chose que des clopes, j'ai fait aussi, jamais jusqu'au bad trip, mais je n'étais pas spécialement frais après... C'est resté occasionnel, j'en ai jamais acheté pour consommation tout seul, mais pendant un temps c'était quand même excessif.
Fumer des cigarettes qui font rire, je le mets un peu sur le même plan que la boisson... Tout dépend de l'optique. Ca peut m'emmener très haut ou très bas, et c'est souvent décidé avant de commencer à consommer. Pour ce qui est de l'alcool, j'ai eu une période assez mauvaise l'an dernier, pendant les vacances, ou je passais mes journées complètement HS à rigoler tout seul.
Cette année, pas vraiment pris le temps de faire beaucoup la fête, donc j'ai été super sobre (sauf le 1er de l'an, comme pas mal de gens ).
Récemment j'ai vu beaucoup beaucoup de bouteilles me passer sous le nez, mais j'ai réussi à dire non. Depuis que j'ai un traitement j'essaie de ne pas déconner avec des mélanges de mon crû. En revanche je ne me suis pas trop privé sur l'herbe.
Sinon, je ne sais pas si c'est une "drogue" au sens strict, mais j'ai déjà abusé de mes traitements pour me mettre dans des états paranormaux.
Ca n'avait rien d'un jeu... En fait je me sentais très mal par rapport à mes traitements. Dépendre d'une boîte de médicaments, ça blesse l'ego (enfin pour moi). Et stupidement, je m'en veux d'en prendre, alors ça m'angoisse, et je pique une crise, et j'en prends, et ça m'angoisse encore plus, etc... J'ai déjà franchement abusé là dessus, et malgré la tristesse, une crise de fou rire nerveux. C'était comique et cruel... Parce que j'étais en cours, tout seul à tripper avec mes tablettes, et tout le monde se cultivait sagement. Le psy m'a fait signe qu'un traitement doit être pris de manière régulière pour être d'une quelconque efficacité, et non pas au coup par coup, selon la fréquence des crises (chose que je n'avais pas encore comprise )... On a discuté de dépendances, il m'a dit de relativiser, apparemment c'est pas grand chose pour lui.
Je préfère rester parano et faire attention

[Ysilne]

Oui, j'avoue, tes questions me manquaient, Selenite. Encore une addiction ?

Bon, a part ca, j'ai toujours refusé de fumer, et de boire pendant longtemps. J'ai abusé sur l'alcool une seule fois, seule, dans un etat psychologique catastrophique, et ca a eu suffisament de consequences pour qu'on me prenne pour une alcoolique pendant qques temps. J'avais appelé des ex en alternant le discours "personne ne m'aime je veux mourir" et "je te hais je veux plus jamais te parler".
Donc, non pas de drogues ni alcool, pas meme le narguilé. Je suis sage, moi. En fait, c'est le seul domaine de destruction que j'ai reussi a eviter, je crois.

Sinon, la cigarette, c'est plutot normal que vous soyez accro pour la plupart d'entre vous. Ca joue le role d'antidepresseur. Sauf que contrairement a un vrai AD, c'est tres nocif, et ca dure peu.

[Wou]

J'ai pas mis la fréquence... En bonne compagnie ne veut rien dire sur le nombre de fois sur l'année...

A tout casser, c'est deux fois par an pour le narguilé.
Et pour l'alcool pareil... mon anniversaire, et deux trois soirées.

Et ça depuis ma terminale, donc 17-18 ans.
On ne peut pas parler d'excès

Cette année... mince j'suis déjà à deux pour l'alcool, plus trois pour vendredi... Va falloir que je me sers la ceinture

[Selenite]

Eh bien, merci pour vos réponses, je n'en attendais pas tant

Je sais pas "comment" ils boivent, mais pour eux aussi c'est problématique.
Je pense qu'un jeune qui se prend des cuites comme ça, en milieu d'aprem, voire même tout simplement régulierement, c'est un jeune qui fuit.

Je n'avais jamais réfléchi à ça, mais oui, tu as raison, pour eux aussi ce n'est pas vraiment normal ...
Je ne pense pas qu'ils s'en rendent compte, pour certains d'entre eux c'est "normal" qu'un jeune soit défoncé très régulierement ou se prenne une cuite comme ça, pour le plaisir.
J'ai juste une amie pour qui c'est "nouveau" en quelque sorte. Il y a quelques semaines , elle ne fumait pas, buvait très peu et seulement pour les grandes occas. Mais finalement elle suit le mouvement, elle fume régulierement avec nous, boit, et fuit aussi je pense. Je sais qu'elle a des problemes, sa mere veut qu'elle voit un psy et j'ai déjà essayé de lui faire comprendre que ce serait une excellente chose pour elle ...

Quand tu dis " C'est assez étrange de se sentir vraiment bien, de rire pour de vrai ... "
Tu trouves vraiment que tu vas "vraiment" bien et que tu ris " pour de vrai" quand tu sais que ce qui provoque ce "bien-être" et ces "rires vrais" sont provoqués par des substances ?

Peut-etre que non effectivement ... Je sais très bien que tout est faux , que ce n'est pas mon état naturel , mais ça change tellement que je prefere me dire que tout va bien dans ces moments-là, meme si je sais que ce n'est pas totalement vrai

Cette année... mince j'suis déjà à deux pour l'alcool, plus trois pour vendredi... Va falloir que je me sers la ceinture

Deux-trois ? C'est le nombre de fois par semaine où je ne suis plus maitresse de mes actes ....


Fin bon, d'un coté je me dis que je devrais me limiter dans la fréquence, mais je n'arrive pas à me dire que ça peut devenir dangereux , et puis meme si ça l'est, pas grave.
En début d'année, j'ai rencontré avec une ami une éducatrice dans un centre d'accueil et d'écoute pour toxicomane , dans le cadre des tpe. Mon amie fume également, beaucoup plus que moi, beaucoup trop meme par un moment. Pourtant , en ressortant, ni elle ni moi ne nous rendions compte qu'on pouvaiy devenir dépendant, ça ne nous avait pratiquement pas marqué ...

Et puis je me dis qu'après m'etre évanouie deux fois après avoir trop fumé, je sais maintenant reconnaitre quand ça dérape, je sais donc me controler et je me sens à l'abri de tout danger.

Oui, j'avoue, tes questions me manquaient, Selenite. Encore une addiction ?

Attention, il s'avere que celle là peut devenir très dangereuse , je peux provoquer chez certaines personnes de lourdes dépendances aux questionnements
Heureusement, ça reste facile à combler quand je suis dans les parages !![/quote]

[babsye]

OHn oui ca m'arrive de fumer le narguilet, mais pour moi ce n'est pas plus important qu'une sucette. C'est plus " oh j'ai jamais gouté fruit d'la passion".

C'est rare, mais c'est pas du tout comme l'alcool, la drogue, ou le tabac, y'a presque rien dedans. Voir même rien.

[Ysilne]

Euh, attention, l'alcool 2-3 fois par semaines, c'est de l'alcoolisme.
C'est impressionant comme les centres de prevention sont mauvais, ils ontinuent a nous donner l'image de l'alcoolisme comme d'un abus severe et journalier, alors qu'il en faut si peu...